Moacir Rodrigues Soares est un dessinateur brésilien de bandes dessinées. Dès sa plus tendre enfance, il est baigné dans l'univers de Disney avec des magazines de l'éditeur brésilien Editora Abril, tels que le bimensuel Pato Donald.
En 1972, Moacir est embauché par Editora Abril comme dessinateur de bande dessinée. Quelques mois plus tard, suite à aux recommandations du jeune dessinateur auprès de l'éditeur brésilien, Irineu Soares Rodrigues vient rejoindre son frère à la maison d'édition. Spécialisé dans le crayonné de récits mettant en scène les gaffes et déboires de Dingo, Moacir fait aussi énormément d'histoires mettant en scène Mickey Mouse. Quoique cela soit occasionnel, il a aussi dessiné des histoires de l'univers de Donald Duck. Comme beaucoup de dessinateurs brésiliens de l'époque, Moacir Rodrigues Soares semble penser que Mickeyville et Donaldville ne font qu'une ville (ou alors qu'elles sont voisines), puisqu'il crayonne de nombreuses fois des histoires où Dingo peut provoquer des gaffes auprès de Géo Trouvetou, où Super Dingo vient en aide à des Donaldvillois lorsqu'ils se sont mis dans le pétrin, ou encore où le Fantôme noir commet des crimes à Donaldville.
En 1973, de 1980 à 1986 et en 1990, le Brésilien approfondit l'univers de José Carioca en crayonnant trente-deux de ses histoires. Il y est souvent accompagné de ses proches, comme de sa fiancée Rosita Vaz, de ses neveux Zico et Zeca ou encore de son meilleur ami Nestor. En 1973 et 1975, voyant la réussite avec Popop Duck, Moacir tente de relancer le détective Charles Rollmops avec le scénariste Ivan Saidenberg. Malheureusement pour eux, l'expérience est un vrai désastre : le personnage n'est utilisé que vingt-sept fois par le Brésil, en incluant les treize apparitions dans des récits de Moacir et d'Ivan.
Dans les années 1980, il devient un des dessinateurs réguliers de couvertures de revues brésiliennes comme Zé Carioca, Margarida, Almanaque do Peninha, et pleins d'autres. D'ailleurs, en 1986, il a l'honneur de dessiner la couverture commémorant les vingt-cinq ans du magazine Zé Carioca : le n°1791 du 4 décembre 1986. Malheureusement, le crayonnage des couvertures empiète sur celui des histoires : ainsi, à partir de ce moment-là, Moacir se spécialise dans la réalisation de couvertures pour les revues du groupe Editora Abril.
En 1994, en pleine crise économique, avec l'abandon presque total de la création de bandes dessinées Disney brésilienne, Moacir s'absente du domaine de la BD Disney. Mais ce n'est que pour mieux revenir : en effet, en 2000, alors qu'il n'a pas dessiné pour Disney depuis plusieurs années, il réalise une histoire de Mickey Mouse intitulée Se Não Pode Vencê-los... Mais son retour est vite suivi d'un deuxième départ, cette fois définitif : sa carrière pour Disney s'arrête en 2002, après la réalisation de sept cent trente-trois histoires et illustrations Disney.
Moacir Rodrigues Soares est un dessinateur brésilien de bandes dessinées. Dès sa plus tendre enfance, il est baigné dans l'univers de Disney avec des magazines de l'éditeur brésilien Editora Abril, tels que le bimensuel Pato Donald.
En 1972, Moacir est embauché par Editora Abril comme dessinateur de bande dessinée. Quelques mois plus tard, suite à aux recommandations du jeune dessinateur auprès de l'éditeur brésilien, Irineu Soares Rodrigues vient rejoindre son frère à la maison d'édition. Spécialisé dans le crayonné de récits mettant en scène les gaffes et déboires de Dingo, Moacir fait aussi énormément d'histoires mettant en scène Mickey Mouse. Quoique cela soit occasionnel, il a aussi dessiné des histoires de l'univers de Donald Duck. Comme beaucoup de dessinateurs brésiliens de l'époque, Moacir Rodrigues Soares semble penser que Mickeyville et Donaldville ne font qu'une ville (ou alors qu'elles sont voisines), puisqu'il crayonne de nombreuses fois des histoires où Dingo peut provoquer des gaffes auprès de Géo Trouvetou, où Super Dingo vient en aide à des Donaldvillois lorsqu'ils se sont mis dans le pétrin, ou encore où le Fantôme noir commet des crimes à Donaldville.
En 1973, de 1980 à 1986 et en 1990, le Brésilien approfondit l'univers de José Carioca en crayonnant trente-deux de ses histoires. Il y est souvent accompagné de ses proches, comme de sa fiancée Rosita Vaz, de ses neveux Zico et Zeca ou encore de son meilleur ami Nestor. En 1973 et 1975, voyant la réussite avec Popop Duck, Moacir tente de relancer le détective Charles Rollmops avec le scénariste Ivan Saidenberg. Malheureusement pour eux, l'expérience est un vrai désastre : le personnage n'est utilisé que vingt-sept fois par le Brésil, en incluant les treize apparitions dans des récits de Moacir et d'Ivan.
Dans les années 1980, il devient un des dessinateurs réguliers de couvertures de revues brésiliennes comme Zé Carioca, Margarida, Almanaque do Peninha, et pleins d'autres. D'ailleurs, […]