Caroline Nasica est née en 1997, elle a grandi dans le sud de la France et est d’origine corse. Après avoir été diplômée de l’EPSAA (École professionnelle supérieure d’arts graphiques) en tant que directrice artistique en communication visuelle et digital média, et avoir fait plusieurs expositions photographiques entre Paris et Ajaccio, Caroline retourne vers son premier amour : le dessin, et plus particulièrement la bande dessinée. Elle déteste qu’on lui dise comment dessiner, voilà pourquoi elle ouvre en 2020 un compte Instagram où elle raconte ses anecdotes WTF, drôles, dramatiques et auto-dérisoires, pour être libre de s’exprimer comme elle le souhaite, pousser ses coups de gueule, et aussi pour ses amis qui y sont souvent représentés, puis pour tous ceux qui s’y reconnaissent. Elle raconte aussi les histoires improbables des volontaires qui lui envoient leurs péripéties loufoques, ce qui a permis de créer une vraie communauté de zinzins qui s’assument. Voilà comment est né Caro et les zinzins.
Texte © Éditions Exemplaires
Caroline Nasica est née en 1997, elle a grandi dans le sud de la France et est d’origine corse. Après avoir été diplômée de l’EPSAA (École professionnelle supérieure d’arts graphiques) en tant que directrice artistique en communication visuelle et digital média, et avoir fait plusieurs expositions photographiques entre Paris et Ajaccio, Caroline retourne vers son premier amour : le dessin, et plus particulièrement la bande dessinée. Elle déteste qu’on lui dise comment dessiner, voilà pourquoi elle ouvre en 2020 un compte Instagram où elle raconte ses anecdotes WTF, drôles, dramatiques et auto-dérisoires, pour être libre de s’exprimer comme elle le souhaite, pousser ses coups de gueule, et aussi pour ses amis qui y sont souvent représentés, puis pour tous ceux qui s’y reconnaissent. Elle raconte aussi les histoires improbables des volontaires qui lui envoient leurs péripéties loufoques, ce qui a permis de créer une vraie communauté de zinzins qui s’assument. Voilà comment est né Caro et les zinzins.
Texte © Éditions Exemplaires