Madeleine Pereira a étudié à l’ESAL d’Épinal où elle a obtenu son Diplôme National d’Art (DNA). Elle entre ensuite à l’École européenne supérieure de l’image d’Angoulême et obtient un DNSEP mention BD en 2020.
Tout juste diplômée, elle retourne à Épinal pour une résidence de deux mois au Zinc Grenadine, Salon du livre jeunesse d’Épinal, et commence un projet de bande dessinée sur l’émigration portugaise dans les années 1970. Elle part ensuite à Sarrant, petit village du Gers pour participer à l’organisation des Estivales de l’Illustration (scénographie, communication, son et lumière...). Elle entre en résidence à la Maison des Auteurs afin d’y poursuivre et approfondir son projet de bande dessinée qui parlera de l’histoire de sa famille mais également d’autres portugais contraints d’émigrer pour fuir une dictature fasciste et des conditions de vie déplorables. Madeleine se passionne également pour la gravure, la sérigraphie, et les techniques d’impression. Sa première résidence s’inscrivait dans le cadre d’un programme territorial de soutien à la jeune création porté par la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image, l’École européenne supérieure de l’image et le Pôle Image Magelis.
Texte © CIBDI
Madeleine Pereira a étudié à l’ESAL d’Épinal où elle a obtenu son Diplôme National d’Art (DNA). Elle entre ensuite à l’École européenne supérieure de l’image d’Angoulême et obtient un DNSEP mention BD en 2020.
Tout juste diplômée, elle retourne à Épinal pour une résidence de deux mois au Zinc Grenadine, Salon du livre jeunesse d’Épinal, et commence un projet de bande dessinée sur l’émigration portugaise dans les années 1970. Elle part ensuite à Sarrant, petit village du Gers pour participer à l’organisation des Estivales de l’Illustration (scénographie, communication, son et lumière...). Elle entre en résidence à la Maison des Auteurs afin d’y poursuivre et approfondir son projet de bande dessinée qui parlera de l’histoire de sa famille mais également d’autres portugais contraints d’émigrer pour fuir une dictature fasciste et des conditions de vie déplorables. Madeleine se passionne également pour la gravure, la sérigraphie, et les techniques d’impression. Sa première résidence s’inscrivait dans le cadre d’un programme territorial de soutien à la jeune création porté par la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image, l’École européenne supérieure de l’image et le Pôle Image Magelis.
Texte © CIBDI