Denis Roland est né le 30 octobre 1968 à Paris. Après un bac D et une maîtrise d'Histoire effectuée à Paris, il passe divers concours pour devenir conservateur de musée. Depuis janvier 1995, il occupe d'ailleurs ce poste au Musée de l'Impression sur Étoffe à Mulhouse. Dans le monde de la bande dessinée, il est plutôt un personnage atypique puisque c'est un ami qui le pousse à l'écriture d'une BD. Jérôme Jouvray vient le trouver un jour avec un projet inachevé. Ce qui intéresse alors Denis dans cette entreprise, c'est de faire quelque chose qui l'amuse : sa collaboration avec Jérôme pour la création de l'histoire, imaginer un monde crédible mais différent, bizarre, légèrement décalé. «Il n'y a pas d'enjeux, dit-il, on peut tuer tout le monde,... comme au cinéma». Denis avoue également être plus à l'aise dans les dialogues que dans la construction du synopsis pour lequel il se laisse volontiers guider par les goûts et les influences de Jérôme. Pour lui, l'important c'est de séduire le public par de bons dialogues. En-dehors du musée et de la bande dessinée, Denis pratique un peu le chant, ce qui lui permet surtout de rencontrer des gens, reconnaît-il, et avoue aussi une autre passion dévorante pour... sa femme. Ses projets rejoignent ceux de Jérôme Jouvray : ils travaillent sur une deuxième BD et Denis aimerait également participer à la réalisation des films d'animation qu'envisage Jérôme.
Texte © Delcourt
Denis Roland est né le 30 octobre 1968 à Paris. Après un bac D et une maîtrise d'Histoire effectuée à Paris, il passe divers concours pour devenir conservateur de musée. Depuis janvier 1995, il occupe d'ailleurs ce poste au Musée de l'Impression sur Étoffe à Mulhouse. Dans le monde de la bande dessinée, il est plutôt un personnage atypique puisque c'est un ami qui le pousse à l'écriture d'une BD. Jérôme Jouvray vient le trouver un jour avec un projet inachevé. Ce qui intéresse alors Denis dans cette entreprise, c'est de faire quelque chose qui l'amuse : sa collaboration avec Jérôme pour la création de l'histoire, imaginer un monde crédible mais différent, bizarre, légèrement décalé. «Il n'y a pas d'enjeux, dit-il, on peut tuer tout le monde,... comme au cinéma». Denis avoue également être plus à l'aise dans les dialogues que dans la construction du synopsis pour lequel il se laisse volontiers guider par les goûts et les influences de Jérôme. Pour lui, l'important c'est de séduire le public par de bons dialogues. En-dehors du musée et de la bande dessinée, Denis pratique un peu le chant, ce qui lui permet surtout de rencontrer des gens, reconnaît-il, et avoue aussi une autre passion dévorante pour... sa femme. Ses projets rejoignent ceux de Jérôme Jouvray : ils travaillent sur une deuxième BD et Denis aimerait également participer à la réalisation des films d'animation qu'envisage Jérôme.
Texte © Delcourt