Petit-fils de peintre, formé à l’académie, Thierry Roland Tiston a essentiellement vécu de graphisme et d’infographie. Pour des publications militaires d’abord, dans une société informatique ensuite, au service d’un grand groupe immobilier luxembourgeois, enfin. Entre-temps, il a bossé dans une menuiserie, et même une sucrerie. La création ne l’a jamais quitté. On se souvient de lui comme l’auteur de la BD «Tournai, la mémoire du temps» réalisée avec la Jeune Chambre économique en 1997.
Il avait surpris tout son monde au pont des Trous avec ses œuvres qui ont l'apparence du métal mais ont la légèreté du papier et du carton qu'il façonne à sa guise. Son «truc»: incorporer des particules de graphite, d'oxyde de fer, d'étain, de bronze, etc dans ses peintures de manière à ce que les couleurs se modifient au fil du temps. «Les rouilles, ça vit» répète-t-il volontiers. Un support parfait pour transmettre mythes et légendes, entre hier et demain.
Petit-fils de peintre, formé à l’académie, Thierry Roland Tiston a essentiellement vécu de graphisme et d’infographie. Pour des publications militaires d’abord, dans une société informatique ensuite, au service d’un grand groupe immobilier luxembourgeois, enfin. Entre-temps, il a bossé dans une menuiserie, et même une sucrerie. La création ne l’a jamais quitté. On se souvient de lui comme l’auteur de la BD «Tournai, la mémoire du temps» réalisée avec la Jeune Chambre économique en 1997.
Il avait surpris tout son monde au pont des Trous avec ses œuvres qui ont l'apparence du métal mais ont la légèreté du papier et du carton qu'il façonne à sa guise. Son «truc»: incorporer des particules de graphite, d'oxyde de fer, d'étain, de bronze, etc dans ses peintures de manière à ce que les couleurs se modifient au fil du temps. «Les rouilles, ça vit» répète-t-il volontiers. Un support parfait pour transmettre mythes et légendes, entre hier et demain.