Xavier Bouyssou est né à Agen en 1991. C’est en étudiant l’art contemporain aux Beaux-Arts de Toulouse qu’il commence à faire ses premiers fanzines. À la fin de ses études, il part pour l’institut Saint-Luc de Bruxelles, dont il sort diplômé en bande dessinée deux ans plus tard. Il vit toujours à Bruxelles. Son travail se base souvent sur la réappropriation de codes connus, que ce soit ceux de la science-fiction, du film de genre, d’un dessin animé ou d’une bande dessinée célèbres. Il consiste souvent à subjectiver ces codes pour faire apparaitre, à travers les mailles de celui-ci, des questionnements plus personnels. Son travail est habité par la notion de romantisme, qu’il embrasse et met à mal en même temps grâce à l’humour. Il aime l’humour qui désarçonne, où on ne sait plus trop dans quel degré l’auteur se situe, comme le pratiquait Andy Kaufman. À ce titre, il se met assez souvent en scène, dans de vraies- fausses BD cathartiques, qui vont de l’autobiographie mise en scène à l’autofiction assumée.
Xavier Bouyssou est né à Agen en 1991. C’est en étudiant l’art contemporain aux Beaux-Arts de Toulouse qu’il commence à faire ses premiers fanzines. À la fin de ses études, il part pour l’institut Saint-Luc de Bruxelles, dont il sort diplômé en bande dessinée deux ans plus tard. Il vit toujours à Bruxelles. Son travail se base souvent sur la réappropriation de codes connus, que ce soit ceux de la science-fiction, du film de genre, d’un dessin animé ou d’une bande dessinée célèbres. Il consiste souvent à subjectiver ces codes pour faire apparaitre, à travers les mailles de celui-ci, des questionnements plus personnels. Son travail est habité par la notion de romantisme, qu’il embrasse et met à mal en même temps grâce à l’humour. Il aime l’humour qui désarçonne, où on ne sait plus trop dans quel degré l’auteur se situe, comme le pratiquait Andy Kaufman. À ce titre, il se met assez souvent en scène, dans de vraies- fausses BD cathartiques, qui vont de l’autobiographie mise en scène à l’autofiction assumée.