Sandrine Deloffre est une autrice et illustratrice française, née en 1987 en Moselle. Elle se mettra très tard au dessin, passant les 30 premières années de sa vie à fuir son destin. Elle officie particulièrement sur les internets, étant à l'origine des « Cartes de Désaveux », des cartes de vœux désagréables qui contribuent à la mauvaise ambiance du pays. Elle est également autrice de "Contes et Légendes", et de "Art et Essai "(éditions Exemplaire), deux albums d'illustrations de type humoristiques rendant hommage, respectivement, aux contes et au cinéma. En parallèle, le dessin de presse n'a plus de secrets pour elle puisqu'elle travaille chaque mois pour le média lyonnais 'l'Arrière Cour'. Sa principale et seule source d'inspiration, son chien, avec qui elle mène des enquêtes sans concessions dans la série « Sandrine et Flibuste enquêteurs animaliers » pour Mâtin - Quel journal ! Pour l'heure, elle n'a jamais reçu de prix, mais une fois, dans la rue, elle a trouvé un caillou qui ressemblait trop à Enrico Macias.
Texte © Dargaud
Sandrine Deloffre est une autrice et illustratrice française, née en 1987 en Moselle. Elle se mettra très tard au dessin, passant les 30 premières années de sa vie à fuir son destin. Elle officie particulièrement sur les internets, étant à l'origine des « Cartes de Désaveux », des cartes de vœux désagréables qui contribuent à la mauvaise ambiance du pays. Elle est également autrice de "Contes et Légendes", et de "Art et Essai "(éditions Exemplaire), deux albums d'illustrations de type humoristiques rendant hommage, respectivement, aux contes et au cinéma. En parallèle, le dessin de presse n'a plus de secrets pour elle puisqu'elle travaille chaque mois pour le média lyonnais 'l'Arrière Cour'. Sa principale et seule source d'inspiration, son chien, avec qui elle mène des enquêtes sans concessions dans la série « Sandrine et Flibuste enquêteurs animaliers » pour Mâtin - Quel journal ! Pour l'heure, elle n'a jamais reçu de prix, mais une fois, dans la rue, elle a trouvé un caillou qui ressemblait trop à Enrico Macias.
Texte © Dargaud