Alki Zei (en grec moderne : Άλκη Ζέη, née le 15 décembre 1925 à Athènes et morte le 27 février 2020 dans la même ville) est une romancière grecque, auteure de littérature d'enfance et de jeunesse. Alki Zei étudie la philosophie à l'université nationale et capodistrienne d'Athènes, puis le théâtre à l'Odeion d'Athènes, et l'écriture de scénario à l'institut cinématographique de Moscou. Militante de gauche, elle est membre active de l'organisation clandestine des jeunes résistants grecs sous l'Occupation nazie. Elle est déportée en 1948. De 1954 à 1964, elle vit en Union soviétique comme réfugiée politique, avec son mari Giórgios Sevastíkoglou, qui s'est enfui en 1949 en URSS après la guerre civile en Grèce. Elle revient en Grèce en 1964 avec son mari et ses enfants, mais quitte à nouveau le pays quand la junte des colonels prend le pouvoir en 1967, partant vivre à Paris. Elle y reste jusqu'en 1980 et retourne vivre en Grèce. Elle commence écrire à 17 ans des pièces pour le théâtre de marionnettes d'Athènes. Son premier roman, Le Tigre dans la vitrine est semi-autobiographique et s'inspire de sa jeunesse à Samos. Il a été traduit dans de nombreuses langues et a reçu de nombreux prix littéraires, dont le Mildred Batchelder aux États-Unis et le Premio Andersen en Italie. Elle a aussi reçu le Prix national pour la littérature enfantine en Grèce, parmi d'autres distinctions dans son pays et à l'étranger.
Texte © Wikipédia
Alki Zei (en grec moderne : Άλκη Ζέη, née le 15 décembre 1925 à Athènes et morte le 27 février 2020 dans la même ville) est une romancière grecque, auteure de littérature d'enfance et de jeunesse. Alki Zei étudie la philosophie à l'université nationale et capodistrienne d'Athènes, puis le théâtre à l'Odeion d'Athènes, et l'écriture de scénario à l'institut cinématographique de Moscou. Militante de gauche, elle est membre active de l'organisation clandestine des jeunes résistants grecs sous l'Occupation nazie. Elle est déportée en 1948. De 1954 à 1964, elle vit en Union soviétique comme réfugiée politique, avec son mari Giórgios Sevastíkoglou, qui s'est enfui en 1949 en URSS après la guerre civile en Grèce. Elle revient en Grèce en 1964 avec son mari et ses enfants, mais quitte à nouveau le pays quand la junte des colonels prend le pouvoir en 1967, partant vivre à Paris. Elle y reste jusqu'en 1980 et retourne vivre en Grèce. Elle commence écrire à 17 ans des pièces pour le théâtre de marionnettes d'Athènes. Son premier roman, Le Tigre dans la vitrine est semi-autobiographique et s'inspire de sa jeunesse à Samos. Il a été traduit dans de nombreuses langues et a reçu de nombreux prix littéraires, dont le Mildred Batchelder aux États-Unis et le Premio Andersen en Italie. Elle a aussi reçu le Prix national pour la littérature enfantine en Grèce, parmi d'autres distinctions dans son pays et à l'étranger.
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