Olivier Lubrano Di Ciccone est passionné par le dessin depuis toujours, et principalement par la BD. Elle lui a donné le goût de la lecture et de l’art en général. Ce fut Tintin, puis Astérix, les comics, puis les mangas. À dix-sept ans, il a participé à un atelier BD, animé par Didier Tarquin. C’était le début de « Lanfeust de Troy ». Il a participé à cet atelier, toutes les semaines, pendant plusieurs années. Ça lui a permis de découvrir concrètement comment on faisait de la BD. De nombreux amis de l’époque, dont Olivier Dutheau ou Joachim Diaz, ont réussi à faire de la BD professionnellement. Lui a choisi de devenir professeur d’arts plastiques. Pour le dessin, il a une influence Comics assez marquée avec Geof Darrow, Franck Cho, Moebius bien sûr. Côté manga, il aime beaucoup Otomo, dessinateur d’ « Akira », ou Shirow de « Ghost in The Shell ». Pour le scénario, il aime beaucoup un américain, Warren Ellis ou Alan Moore en comics, ou Dick ou Reynolds en littérature. La cellule fantôme est sa première BD.
Olivier Lubrano Di Ciccone est passionné par le dessin depuis toujours, et principalement par la BD. Elle lui a donné le goût de la lecture et de l’art en général. Ce fut Tintin, puis Astérix, les comics, puis les mangas. À dix-sept ans, il a participé à un atelier BD, animé par Didier Tarquin. C’était le début de « Lanfeust de Troy ». Il a participé à cet atelier, toutes les semaines, pendant plusieurs années. Ça lui a permis de découvrir concrètement comment on faisait de la BD. De nombreux amis de l’époque, dont Olivier Dutheau ou Joachim Diaz, ont réussi à faire de la BD professionnellement. Lui a choisi de devenir professeur d’arts plastiques. Pour le dessin, il a une influence Comics assez marquée avec Geof Darrow, Franck Cho, Moebius bien sûr. Côté manga, il aime beaucoup Otomo, dessinateur d’ « Akira », ou Shirow de « Ghost in The Shell ». Pour le scénario, il aime beaucoup un américain, Warren Ellis ou Alan Moore en comics, ou Dick ou Reynolds en littérature. La cellule fantôme est sa première BD.