Benjamin Taïeb est né à Paris (origines pas catholiques) et vit à Nice, le Ciel soit loué. Il apprend le métier d'éditeur à L'Amourier et écrit depuis plusieurs années, essentiellement du théâtre, publié aux "Écritures Théâtrales Grand Sud-Ouest". Sa troisième pièce, bourse d'aide à l'écriture Beaumarchais-SACD, est mise en espace au Théâtre du Rond-Point et lue au Théâtre de l'Aquarium, La cartoucherie. "Journal d'un fœtus" est son premier roman. Né d'un père juif et d'une mère non juive, j'étais, enfant, considéré comme juif par les non-Juifs, car je porte un nom juif, et non-juif par les Juifs : la religion juive se transmet par la mère. C'est sans doute pour mettre fin à cette contradiction que mon père a souhaité que je sois converti au judaïsme.
Benjamin Taïeb est né à Paris (origines pas catholiques) et vit à Nice, le Ciel soit loué. Il apprend le métier d'éditeur à L'Amourier et écrit depuis plusieurs années, essentiellement du théâtre, publié aux "Écritures Théâtrales Grand Sud-Ouest". Sa troisième pièce, bourse d'aide à l'écriture Beaumarchais-SACD, est mise en espace au Théâtre du Rond-Point et lue au Théâtre de l'Aquarium, La cartoucherie. "Journal d'un fœtus" est son premier roman. Né d'un père juif et d'une mère non juive, j'étais, enfant, considéré comme juif par les non-Juifs, car je porte un nom juif, et non-juif par les Juifs : la religion juive se transmet par la mère. C'est sans doute pour mettre fin à cette contradiction que mon père a souhaité que je sois converti au judaïsme.