Roxane Gardeil est traductrice de l’anglais et du mandarin chez MAKMA. Elle est également relectrice-correctrice, ainsi que lettreuse de webtoons. Née dans la ville de Montpellier où elle vit toujours aujourd’hui, elle a grandi dans le sud mais n’a jamais appris à supporter les fortes chaleurs. Dès son enfance, elle passe beaucoup de temps à jouer aux jeux vidéo, lire des bandes dessinées et regarder des animes. Et lorsque, pour un Noël, elle se voit offrir son tout premier manga, Alice 19th, elle se découvre un grand intérêt pour le Japon et, par la suite, l’Asie en général. Elle passe alors la majeure partie de son temps libre au collège à dessiner pour recopier le style de ses mangas préférés qu’elle achète à la pelle avec son argent de poche. À l’époque, elle écume les Skyblogs en tous genres pour en apprendre toujours plus sur la culture asiatique. Elle tombe alors sur un blog qui demande l’aide d’une personne bilingue pour traduire un documentaire anglais traitant du Japon. Elle accepte donc cette « mission », et c’est ainsi qu’elle découvre sa passion pour la traduction. Roxane aime écrire et crée même un blog de fan-fiction dont elle refuse de nous donner l’adresse (pour l’instant). C’est à cette époque qu’elle a la chance de pouvoir suivre des cours d’initiation au mandarin dans son collège. Quelques heures par semaine pour lui faire découvrir la beauté de cette langue et de son système d’écriture. C’est à la suite d’un parcours scolaire curieux enchaînant une terminale littéraire après une première scientifique, qu’elle décide de suivre une licence en Langues Étrangères Appliquées anglais-mandarin, et qu’elle retrouve par ailleurs la professeure l’ayant initiée au mandarin quand elle était encore au collège. Dès son entrée à l’université Paul Valéry de Montpellier, elle souhaite se diriger vers un master traduction car elle sait depuis longtemps que cette discipline lui plaît énormément. Elle valide sa licence, notamment grâce à un stage linguistique d’un mois à Beijing suivi d’un road-trip dans la moitié nord du pays. Puis, afin de valider sa deuxième année de master, il lui faut faire un stage dans le domaine de la traduction et c’est ainsi qu’elle croise la route du studio MAKMA. Elle découvre la société grâce à son grand-frère traducteur Camille Gardeil, qui a fait les mêmes études qu’elle. Il collabore avec MAKMA depuis quelque temps déjà, après avoir lui aussi effectué un stage au sein de cette agence de traduction BD. C’est au cours de ces quelques mois que Roxane traduira son premier manhua taïwanais pour les éditions Kotoji, elle qui n’a jusque là travaillé que le mandarin de Chine continentale. C’est un challenge mais elle arrive au bout en se disant qu’elle a beaucoup appris grâce à cela. Comme Camille, Roxane Gardeil commence une collaboration avec MAKMA, lorsqu’Edmond Tourriol, qui dirige le département traduction du studio, la contacte après l’obtention de son diplôme pour traduire une série de manhuas taïwanais pour les éditions Chattochatto : Don’t Call Me Magical Girl, I’m OOXX. Elle signe par la suite la VF de Dragon Metropolis, pour la même maison d’édition.
Texte et photo © Makma
Roxane Gardeil est traductrice de l’anglais et du mandarin chez MAKMA. Elle est également relectrice-correctrice, ainsi que lettreuse de webtoons. Née dans la ville de Montpellier où elle vit toujours aujourd’hui, elle a grandi dans le sud mais n’a jamais appris à supporter les fortes chaleurs. Dès son enfance, elle passe beaucoup de temps à jouer aux jeux vidéo, lire des bandes dessinées et regarder des animes. Et lorsque, pour un Noël, elle se voit offrir son tout premier manga, Alice 19th, elle se découvre un grand intérêt pour le Japon et, par la suite, l’Asie en général. Elle passe alors la majeure partie de son temps libre au collège à dessiner pour recopier le style de ses mangas préférés qu’elle achète à la pelle avec son argent de poche. À l’époque, elle écume les Skyblogs en tous genres pour en apprendre toujours plus sur la culture asiatique. Elle tombe alors sur un blog qui demande l’aide d’une personne bilingue pour traduire un documentaire anglais traitant du Japon. Elle accepte donc cette « mission », et c’est ainsi qu’elle découvre sa passion pour la traduction. Roxane aime écrire et crée même un blog de fan-fiction dont elle refuse de nous donner l’adresse (pour l’instant). C’est à cette époque qu’elle a la chance de pouvoir suivre des cours d’initiation au mandarin dans son collège. Quelques heures par semaine pour lui faire découvrir la beauté de cette langue et de son système d’écriture. C’est à la suite d’un parcours scolaire curieux enchaînant une terminale littéraire après une première scientifique, qu’elle décide de suivre une licence en Langues Étrangères Appliquées anglais-mandarin, et qu’elle retrouve par ailleurs la professeure l’ayant initiée au mandarin quand elle était encore au collège. Dès son entrée à l’université Paul Valéry de Montpellier, elle souhaite se diriger vers un master traduction car elle sait depuis longtemps que cette discipline lui plaît énormément. Elle valide sa licence, notamment grâce à un stage linguistique d’un […]