Laurent Gudin suit l’univers des sportifs de haut niveau depuis plus de dix ans : drivers, cyclistes, boxeurs, lutteurs, coureurs, danseurs… Sa vie photographique s’est construite sur une suite de rencontres heureuses. D’abord avec Jean-Pierre Gilson, maître du noir et blanc, qui l’initie dès l’âge de seize ans aux secrets du tirage, puis avec Neville Brody, le designer mondialement connu de la presse moderne. Ce sont les grandes années d’Actuel, Glamour, Rock&Folk où Laurent y fait briller ses qualités de directeur artistique. Il est happé par le Sénégal lors d’un voyage avec la photographe Alexandra Boulat et s’y rend désormais régulièrement. Il travaille notamment sur la lutte sénégalaise, sport traditionnel ancré dans la culture nationale. La boxe occupe également une place majeure dans son travail. Il rassemble des portraits d’athlètes saisis sur le vif, à l’issue d’une course, d’un combat, d’une performance. Il parvient à s’insérer dans ce milieu et à y gagner sa place grâce au champion Souleymane Mbaye. De la confiance acquise résulte un travail puissant et intime sur l’intensité et la dureté de ce sport. Laurent Gudin s’intéresse également à présent à la danse, peu éloignée du domaine de la boxe par le rythme et la beauté du geste. Récemment, le photographe a commencé à suivre le mouvement du voguing parisien. Dépouillement et rigueur caractérisent ses photographies. Il est l’artisan de toutes les étapes de sa création. Prise de vues, tirages argentiques et même mise en pages quand il s’agit de ses propres livres.
Laurent Gudin suit l’univers des sportifs de haut niveau depuis plus de dix ans : drivers, cyclistes, boxeurs, lutteurs, coureurs, danseurs… Sa vie photographique s’est construite sur une suite de rencontres heureuses. D’abord avec Jean-Pierre Gilson, maître du noir et blanc, qui l’initie dès l’âge de seize ans aux secrets du tirage, puis avec Neville Brody, le designer mondialement connu de la presse moderne. Ce sont les grandes années d’Actuel, Glamour, Rock&Folk où Laurent y fait briller ses qualités de directeur artistique. Il est happé par le Sénégal lors d’un voyage avec la photographe Alexandra Boulat et s’y rend désormais régulièrement. Il travaille notamment sur la lutte sénégalaise, sport traditionnel ancré dans la culture nationale. La boxe occupe également une place majeure dans son travail. Il rassemble des portraits d’athlètes saisis sur le vif, à l’issue d’une course, d’un combat, d’une performance. Il parvient à s’insérer dans ce milieu et à y gagner sa place grâce au champion Souleymane Mbaye. De la confiance acquise résulte un travail puissant et intime sur l’intensité et la dureté de ce sport. Laurent Gudin s’intéresse également à présent à la danse, peu éloignée du domaine de la boxe par le rythme et la beauté du geste. Récemment, le photographe a commencé à suivre le mouvement du voguing parisien. Dépouillement et rigueur caractérisent ses photographies. Il est l’artisan de toutes les étapes de sa création. Prise de vues, tirages argentiques et même mise en pages quand il s’agit de ses propres livres.