Manu Scordia est auteur de bande dessinée et illustrateur. Il est auteur de BD et a collaboré à plusieurs fanzines et projets de BD collectives. Il est également dessinateur pour divers organes de presses (« Imagine demain le monde » le magasine du CNCD, la revue « Z », « Ensemble » le trimestriel du Collectif Solidarité Contre l’Exclusion, le « JEF », Journal des Étudiants Francophone). Dans son travail, il aborde des sujets sociaux ou politiques qui lui tiennent à cœur et essaie ainsi, à travers le dessin, de mettre en lumière les injustices de la société. Ses thèmes principaux sont le racisme, la discrimination, le colonialisme, la question palestinienne, l’exclusion sociale de manière générale. Il est l’auteur de la bande dessinée « je m’appelle Ali Aarrass » (éd. Antidote) qui raconte l’histoire vraie d’Ali Aarrass, Belgo-marocain incarcéré et torturé au Maroc dans l’indifférence de la Belgique alors que son innocence est établie et que l’ONU exige sa libération. Amnesty International en a fait l’une des figures de sa campagne contre la torture.
Manu Scordia est auteur de bande dessinée et illustrateur. Il est auteur de BD et a collaboré à plusieurs fanzines et projets de BD collectives. Il est également dessinateur pour divers organes de presses (« Imagine demain le monde » le magasine du CNCD, la revue « Z », « Ensemble » le trimestriel du Collectif Solidarité Contre l’Exclusion, le « JEF », Journal des Étudiants Francophone). Dans son travail, il aborde des sujets sociaux ou politiques qui lui tiennent à cœur et essaie ainsi, à travers le dessin, de mettre en lumière les injustices de la société. Ses thèmes principaux sont le racisme, la discrimination, le colonialisme, la question palestinienne, l’exclusion sociale de manière générale. Il est l’auteur de la bande dessinée « je m’appelle Ali Aarrass » (éd. Antidote) qui raconte l’histoire vraie d’Ali Aarrass, Belgo-marocain incarcéré et torturé au Maroc dans l’indifférence de la Belgique alors que son innocence est établie et que l’ONU exige sa libération. Amnesty International en a fait l’une des figures de sa campagne contre la torture.