Corinne Atlan est romancière, essayiste et traductrice née en Algérie. Elle est diplômée à vingt ans d'une licence de japonais à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales. Après ses études, elle fait un séjour de cinq ans au Japon, puis elle part au Népal où elle restera plus de dix ans : elle y enseigne le français, étudie le népali et le sanskrit. Elle a vécu près de vingt ans en Asie, enseignant le français au Japon (Tôkyô, Nagano, Nagoya, Kyôto) et au Népal (Centre Culturel Français de Katmandou). À son retour en France, dans les années quatre-vingt-dix, elle se lance dans la traduction de littérature japonaise. Outre ses très nombreuses traductions: elle a traduit plus de 60 œuvres japonaises (notamment les romans de Haruki Murakami, Ryû Murakami, Yasushi Inoue ou encore Fumiko Hayashi, mais aussi de la poésie et du théâtre), elle a également écrit un premier roman "Le monastère de l’aube" édité chez Albin Michel en 2006. Elle est aussi à la base de deux anthologies du haiku: "Anthologie du poème court japonais" (2002) et "Le poème court japonais aujourd’hui" (2007). Corinne Atlan a obtenu le prix Zoom Japon 2012 pour la traduction du roman "La prière d'Audubon" d'Isaka Kotaro (éd. Picquier). Son deuxième roman, "Le Cavalier au miroir", situé au Tibet et recommandé par Mathieu Ricard, est paru en 2014 chez L'Asiathèque. Dans son récit "Un automne à Kyôto" (2018), elle nous fait partager sa vision intime d’une ville qu’elle connaît depuis quarante ans. Elle partage aujourd’hui sa vie entre Paris (où elle est, entre autres, coordinatrice du comité de traduction de théâtre japonais contemporain à la Maison Antoine Vitez, Centre international de la traduction théâtrale) et Kyoto, et continue d’effectuer de nombreux séjours en Asie.
Texte © Babelio
Corinne Atlan est romancière, essayiste et traductrice née en Algérie. Elle est diplômée à vingt ans d'une licence de japonais à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales. Après ses études, elle fait un séjour de cinq ans au Japon, puis elle part au Népal où elle restera plus de dix ans : elle y enseigne le français, étudie le népali et le sanskrit. Elle a vécu près de vingt ans en Asie, enseignant le français au Japon (Tôkyô, Nagano, Nagoya, Kyôto) et au Népal (Centre Culturel Français de Katmandou). À son retour en France, dans les années quatre-vingt-dix, elle se lance dans la traduction de littérature japonaise. Outre ses très nombreuses traductions: elle a traduit plus de 60 œuvres japonaises (notamment les romans de Haruki Murakami, Ryû Murakami, Yasushi Inoue ou encore Fumiko Hayashi, mais aussi de la poésie et du théâtre), elle a également écrit un premier roman "Le monastère de l’aube" édité chez Albin Michel en 2006. Elle est aussi à la base de deux anthologies du haiku: "Anthologie du poème court japonais" (2002) et "Le poème court japonais aujourd’hui" (2007). Corinne Atlan a obtenu le prix Zoom Japon 2012 pour la traduction du roman "La prière d'Audubon" d'Isaka Kotaro (éd. Picquier). Son deuxième roman, "Le Cavalier au miroir", situé au Tibet et recommandé par Mathieu Ricard, est paru en 2014 chez L'Asiathèque. Dans son récit "Un automne à Kyôto" (2018), elle nous fait partager sa vision intime d’une ville qu’elle connaît depuis quarante ans. Elle partage aujourd’hui sa vie entre Paris (où elle est, entre autres, coordinatrice du comité de traduction de théâtre japonais contemporain à la Maison Antoine Vitez, Centre international de la traduction théâtrale) et Kyoto, et continue d’effectuer de nombreux séjours en Asie.
Texte © Babelio