Jean-François Julliard est né en 1973 à Valognes. Il est directeur général de l'association Greenpeace France depuis 2012. Il est secrétaire général de Reporters sans frontières de 2008 à 2012. En septembre 2015, il publie son premier ouvrage aux Éditions Don Quichotte, Les Veilleurs du ciel. En mars 2019, Greenpeace France publie Greenpeace France, une histoire d’engagements dont Jean-François Julliard assure la promotion dans les médias. Il fait le lien entre les fondateurs de Greenpeace et les mouvements actuels de défense du climat et fait un pas vers les mouvements sociaux. Il est contributeur du livre Pourquoi je suis écologiste ? de Grégoire Christian. En mai 2019 paraît On ne joue plus !, aux éditions Don Quichotte/Seuil, dont il est l'auteur. Le livre part du constat qu’il faut accélérer les changements structurels pour préserver notre avenir sur Terre, face aux périls du changement climatique et de la perte de biodiversité. Pour cela, il faut tenter de nouvelles formes d’actions, multiplier les actions de désobéissance civile pour hausser le ton ou encore mettre les responsables face à leur inaction ou défaut d’action dans le cadre de procédures juridiques.
Jean-François Julliard est né en 1973 à Valognes. Il est directeur général de l'association Greenpeace France depuis 2012. Il est secrétaire général de Reporters sans frontières de 2008 à 2012. En septembre 2015, il publie son premier ouvrage aux Éditions Don Quichotte, Les Veilleurs du ciel. En mars 2019, Greenpeace France publie Greenpeace France, une histoire d’engagements dont Jean-François Julliard assure la promotion dans les médias. Il fait le lien entre les fondateurs de Greenpeace et les mouvements actuels de défense du climat et fait un pas vers les mouvements sociaux. Il est contributeur du livre Pourquoi je suis écologiste ? de Grégoire Christian. En mai 2019 paraît On ne joue plus !, aux éditions Don Quichotte/Seuil, dont il est l'auteur. Le livre part du constat qu’il faut accélérer les changements structurels pour préserver notre avenir sur Terre, face aux périls du changement climatique et de la perte de biodiversité. Pour cela, il faut tenter de nouvelles formes d’actions, multiplier les actions de désobéissance civile pour hausser le ton ou encore mettre les responsables face à leur inaction ou défaut d’action dans le cadre de procédures juridiques.