Le nom de Jean-Luc Goossens, probablement ignoré de beaucoup il y a encore quelques années, s’est étalé dans la presse (belge au moins) à la diffusion de la série Melting Pot Café. Il en est effectivement le créateur et scénariste. C’est la première série qu’il signe, un genre qu’il semble avoir apprécié en raison des possibilités qu’il offre en matière d’évolution des personnages. Jean-Luc Goossens est spécialisé dans la comédie et Melting Pot Café ne va pas changer sa réputation. C’est la trilogie des « Je hais… » pour France 2 qu’il l’a surtout fait connaître (Je hais les enfants en 2003, suivi par Je hais les parents en 2006 et Je hais les vacances en 2007). Mais ce ne sont pas les seuls téléfilms qu’il a signés. Il était également la plume derrière Si j’étais elle (2004) avec Thierry Lhermitte et Hélène de Fougerolles, Trop jeune pour moi (2004), Trois garçons, Une fille, Deux mariages (2004), Pierre et Farid (2003) et Le divin enfant (2001). C’est donc à la télévision qu’il a aiguisé son style. Le divin enfant a reçu le Prix du Meilleur Scénario au Festival de la Fiction de Saint-Tropez en 2001. C’est pourtant par le cinéma, le court métrage plus particulièrement, qu’il a débuté. Il était à la fois scénariste et réalisateur sur Téléphone sans film (1998) et sur Pas de stress (un moyen métrage dans lequel jouait Thierry Redler des Filles d’à côté). Mais c’est surtout la phase d’écriture qui le satisfera. Ces films restent, à ce jour, ses seules expériences de réalisation. Mais il a de nouveau touché au septième art en signant différents scénarios : Victor le coiffeur (court métrage, 1998), Regarde-moi réalisé par Frédéric Soicher en 2000, et surtout l’adaptation d’Astérix et les vikings en dessin animé en 2006. Le scénariste est né en 1962, il a donc encore quelques pages de scénario à écrire. Il a fait ses études à l’INSAS à Bruxelles.
Le nom de Jean-Luc Goossens, probablement ignoré de beaucoup il y a encore quelques années, s’est étalé dans la presse (belge au moins) à la diffusion de la série Melting Pot Café. Il en est effectivement le créateur et scénariste. C’est la première série qu’il signe, un genre qu’il semble avoir apprécié en raison des possibilités qu’il offre en matière d’évolution des personnages. Jean-Luc Goossens est spécialisé dans la comédie et Melting Pot Café ne va pas changer sa réputation. C’est la trilogie des « Je hais… » pour France 2 qu’il l’a surtout fait connaître (Je hais les enfants en 2003, suivi par Je hais les parents en 2006 et Je hais les vacances en 2007). Mais ce ne sont pas les seuls téléfilms qu’il a signés. Il était également la plume derrière Si j’étais elle (2004) avec Thierry Lhermitte et Hélène de Fougerolles, Trop jeune pour moi (2004), Trois garçons, Une fille, Deux mariages (2004), Pierre et Farid (2003) et Le divin enfant (2001). C’est donc à la télévision qu’il a aiguisé son style. Le divin enfant a reçu le Prix du Meilleur Scénario au Festival de la Fiction de Saint-Tropez en 2001. C’est pourtant par le cinéma, le court métrage plus particulièrement, qu’il a débuté. Il était à la fois scénariste et réalisateur sur Téléphone sans film (1998) et sur Pas de stress (un moyen métrage dans lequel jouait Thierry Redler des Filles d’à côté). Mais c’est surtout la phase d’écriture qui le satisfera. Ces films restent, à ce jour, ses seules expériences de réalisation. Mais il a de nouveau touché au septième art en signant différents scénarios : Victor le coiffeur (court métrage, 1998), Regarde-moi réalisé par Frédéric Soicher en 2000, et surtout l’adaptation d’Astérix et les vikings en dessin animé en 2006. Le scénariste est né en 1962, il a donc encore quelques pages de scénario à écrire. Il a fait ses études à l’INSAS à Bruxelles.