Après avoir effectué son Service National, Paul Laurenzi décide de s'engager dans une voie artistique. En 1986, il s'installe dans le Vaucluse (sud de la France) où il exécute divers jobs, notamment dans la publicité et l'illustration, qui lui permet de rencontrer Monsieur Corteggiani, auteur de bande dessinées à qui il présente ses premiers travaux (dessins, aquarelles…). Encouragé chaleureusement à poursuivre dans cette voie il s'inscrit dans une association d’artistes peintres et sculpteurs, et participe à diverses expositions dans le département. Son président, l'artiste peintre Philippe Pierron, découvre ses travaux, et décide de le présenter à une galerie marseillaise. Ainsi, en 1991 ses tableaux d’après modèles féminins (huiles et acryliques) sont visibles dans une première exposition de groupe, aux côtés des œuvres d’un invité d’honneur renommé : Monsieur Bernard Buffet. Il rencontre un réel succès, ce qui marque son entrée dans l’univers des galeries en tant qu’artiste peintre professionnel. Convaincu que l’étude des grands maîtres lui est indispensable, Paul Laurenzi se plonge dans l'étude des œuvres de De Vinci, Vermeer, Toulouse-Lautrec, Manet, Klimt, Balthus, Dali, sources inépuisables. Il explore également la mythologie gréco-romaine, peuplée de déesses lascives entourées de faunes malicieux. L’univers fantastique du film « La Belle et la Bête » de Jean Cocteau, opposant la douce sensualité féminine à la Bête, tour à tour attirante et effrayante, marque de son empreinte certains de ses travaux. Puis, le monde de l’érotisme lui permet d’exposer avec succès de nombreuses œuvres dans une galerie parisienne « les Larmes d’Eros ». Il côtoie ainsi quelques artistes confirmés tel que Alex Varenne, Jean-Pierre Ceytaire, Gilles Berquet, Hubert de Lartigues. Parallèlement à la représentation féminine, Paul Laurenzi explore le style abstrait avec le thème de la désagrégation de surfaces exposées aux intempéries. Cela lui permet de commencer une exploration de son inconscient par le travail de la matière et de mieux apprécier le travail d’artistes tel que Tapiès, Burri, Motherwell, Bacon, Niki de St Phalle.
Après avoir effectué son Service National, Paul Laurenzi décide de s'engager dans une voie artistique. En 1986, il s'installe dans le Vaucluse (sud de la France) où il exécute divers jobs, notamment dans la publicité et l'illustration, qui lui permet de rencontrer Monsieur Corteggiani, auteur de bande dessinées à qui il présente ses premiers travaux (dessins, aquarelles…). Encouragé chaleureusement à poursuivre dans cette voie il s'inscrit dans une association d’artistes peintres et sculpteurs, et participe à diverses expositions dans le département. Son président, l'artiste peintre Philippe Pierron, découvre ses travaux, et décide de le présenter à une galerie marseillaise. Ainsi, en 1991 ses tableaux d’après modèles féminins (huiles et acryliques) sont visibles dans une première exposition de groupe, aux côtés des œuvres d’un invité d’honneur renommé : Monsieur Bernard Buffet. Il rencontre un réel succès, ce qui marque son entrée dans l’univers des galeries en tant qu’artiste peintre professionnel. Convaincu que l’étude des grands maîtres lui est indispensable, Paul Laurenzi se plonge dans l'étude des œuvres de De Vinci, Vermeer, Toulouse-Lautrec, Manet, Klimt, Balthus, Dali, sources inépuisables. Il explore également la mythologie gréco-romaine, peuplée de déesses lascives entourées de faunes malicieux. L’univers fantastique du film « La Belle et la Bête » de Jean Cocteau, opposant la douce sensualité féminine à la Bête, tour à tour attirante et effrayante, marque de son empreinte certains de ses travaux. Puis, le monde de l’érotisme lui permet d’exposer avec succès de nombreuses œuvres dans une galerie parisienne « les Larmes d’Eros ». Il côtoie ainsi quelques artistes confirmés tel que Alex Varenne, Jean-Pierre Ceytaire, Gilles Berquet, Hubert de Lartigues. Parallèlement à la représentation féminine, Paul Laurenzi explore le style abstrait avec le thème de la désagrégation de surfaces exposées aux intempéries. Cela lui permet de commencer une exploration de son […]