Je m'appelle Gabriel Bargiel, je suis auteur de BD depuis près de 10 ans. Quelques-uns de mes projets sont sortis en version papier, en auto-édition ou dans des fanzines.
Originaire de l’Aveyron, pour faire connaître son oeuvre, Gabriel Bargiel a décidé de recourir à l’auto-édition et au financement participatif. Sa volonté est de raconter des histoires dès le collège. Pour Hobraz, (son pseudo) l’aventure du dessin a débuté dès la 4e : « À cette époque, j’ai débuté avec la volonté de raconter des histoires grâce au dessin. je n’avais pas besoin de faire un dessin très compliqué pour faire comprendre ce que je raconte. La Bande dessinée m’a ainsi paru le moyen le plus évident. J’ai continué jusqu’en terminale, où là, j’ai débuté le Fanzine ». Gabriel Bargiel commence alors à réaliser des œuvres et les diffuse via de l’auto-édition : « Je me débrouillais pour imprimer mes BD par mes propres moyens pour les distribuer dans des festivals, surtout à Rodez à ce moment-là ». Le jeune artiste arrive par la suite à Aurillac, pour poursuivre ses études au Lycée Saint-Géraud. C’est à ce moment qu’il débute les concours de bande dessinée, dont celui du festival de la BD d’Aurillac : « Lors de ma première participation en 2016, j’avais alors 18 ans et j’ai remporté le premier prix » indique l’auteur. Une prouesse, alors que la compétition voyait s’affronter huit auteurs, dont des vétérans du genre. En 2017, il participe de nouveau et rafle une nouvelle fois la mise : « À ce moment-là j’ai décidé de poursuivre l’auto-édition, mais de manière plus professionnelle en passant par des imprimeurs. Gagner ces concours m’a aussi conforté dans mon choix, en me prouvant que je pouvais intégrer le milieu ».
Je m'appelle Gabriel Bargiel, je suis auteur de BD depuis près de 10 ans. Quelques-uns de mes projets sont sortis en version papier, en auto-édition ou dans des fanzines.
Originaire de l’Aveyron, pour faire connaître son oeuvre, Gabriel Bargiel a décidé de recourir à l’auto-édition et au financement participatif. Sa volonté est de raconter des histoires dès le collège. Pour Hobraz, (son pseudo) l’aventure du dessin a débuté dès la 4e : « À cette époque, j’ai débuté avec la volonté de raconter des histoires grâce au dessin. je n’avais pas besoin de faire un dessin très compliqué pour faire comprendre ce que je raconte. La Bande dessinée m’a ainsi paru le moyen le plus évident. J’ai continué jusqu’en terminale, où là, j’ai débuté le Fanzine ». Gabriel Bargiel commence alors à réaliser des œuvres et les diffuse via de l’auto-édition : « Je me débrouillais pour imprimer mes BD par mes propres moyens pour les distribuer dans des festivals, surtout à Rodez à ce moment-là ». Le jeune artiste arrive par la suite à Aurillac, pour poursuivre ses études au Lycée Saint-Géraud. C’est à ce moment qu’il débute les concours de bande dessinée, dont celui du festival de la BD d’Aurillac : « Lors de ma première participation en 2016, j’avais alors 18 ans et j’ai remporté le premier prix » indique l’auteur. Une prouesse, alors que la compétition voyait s’affronter huit auteurs, dont des vétérans du genre. En 2017, il participe de nouveau et rafle une nouvelle fois la mise : « À ce moment-là j’ai décidé de poursuivre l’auto-édition, mais de manière plus professionnelle en passant par des imprimeurs. Gagner ces concours m’a aussi conforté dans mon choix, en me prouvant que je pouvais intégrer le milieu ».