Akira Kanou a un profil international, aussi bien au niveau familial que professionnel. Sa mère étant d’origine chinoise, elle passe une partie de son enfance à Shanghai. Sa double culture lui permet de s’ouvrir à d’autres modes de pensée, mais crée un décalage avec la mentalité japonaise, ce qui lui pose des difficultés à l’école. En conséquence, Akira Kanou s’intéresse aux personnages différents des autres, voire en marge de la société. Elle suit dès le lycée un parcours artistique, malgré l’opposition de ses parents. Les peintures à l’huile qu’elle exécute durant ses années d’études sont primées, et elle remporte des prix d’illustration avant même l’obtention de son diplôme ! Akira Kanou n’a pas peur des défis… Elle publie sa première série en Corée, avant de proposer ses œuvres à Ki-oon et à un grand éditeur japonais, Kadokawa. Aujourd’hui, elle réalise seule deux mangas en parallèle : Outsiders et Zangetsu, kageyoko tawaru atari.
Texte © Ki-oon
Akira Kanou a un profil international, aussi bien au niveau familial que professionnel. Sa mère étant d’origine chinoise, elle passe une partie de son enfance à Shanghai. Sa double culture lui permet de s’ouvrir à d’autres modes de pensée, mais crée un décalage avec la mentalité japonaise, ce qui lui pose des difficultés à l’école. En conséquence, Akira Kanou s’intéresse aux personnages différents des autres, voire en marge de la société. Elle suit dès le lycée un parcours artistique, malgré l’opposition de ses parents. Les peintures à l’huile qu’elle exécute durant ses années d’études sont primées, et elle remporte des prix d’illustration avant même l’obtention de son diplôme ! Akira Kanou n’a pas peur des défis… Elle publie sa première série en Corée, avant de proposer ses œuvres à Ki-oon et à un grand éditeur japonais, Kadokawa. Aujourd’hui, elle réalise seule deux mangas en parallèle : Outsiders et Zangetsu, kageyoko tawaru atari.
Texte © Ki-oon