Frank Peter Belinda, nom de plume de Jacques Pierroux, né le 20 mai 1928 à Grivegnée, quartier de Liège, en Belgique, et mort le 28 mai 1981, est un écrivain belge, auteur de roman policier, de roman d'espionnage et de science-fiction. Tout d’abord opérateur trilingue à la Régie des Télégraphes et Téléphones, il est ensuite crémier à Liège. En 1952, il publie son premier roman, C'est à la fin qu'on tue, ma belle, un roman policier mettant en scène un détective privé new-yorkais. La même année, il crée le personnage de John Kallum, un espion héros de vingt-quatre romans parus dans la collection La Loupe et de onze romans illustrés publiés dans un magazine dédié Kallum magazine. Michel Lebrun définit l'œuvre de Belinda comme « une littérature d'action et de violence écrite à une allure de mitrailleuse ». Il est inhumé au Cimetière de Robermont à Liège.
Texte et photo © Wikipédia
Frank Peter Belinda, nom de plume de Jacques Pierroux, né le 20 mai 1928 à Grivegnée, quartier de Liège, en Belgique, et mort le 28 mai 1981, est un écrivain belge, auteur de roman policier, de roman d'espionnage et de science-fiction. Tout d’abord opérateur trilingue à la Régie des Télégraphes et Téléphones, il est ensuite crémier à Liège. En 1952, il publie son premier roman, C'est à la fin qu'on tue, ma belle, un roman policier mettant en scène un détective privé new-yorkais. La même année, il crée le personnage de John Kallum, un espion héros de vingt-quatre romans parus dans la collection La Loupe et de onze romans illustrés publiés dans un magazine dédié Kallum magazine. Michel Lebrun définit l'œuvre de Belinda comme « une littérature d'action et de violence écrite à une allure de mitrailleuse ». Il est inhumé au Cimetière de Robermont à Liège.
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