Charles Bricman est un auteur et journaliste belge, né à Bruxelles (Uccle) le 23 janvier 1953. Observateur de l'actualité politique, il est spécialisé dans les problèmes communautaires en Belgique. Bruxellois francophone, il s'efforce de comprendre les mouvements de l'opinion, tant flamande que francophone, et préconise une approche non partisane de ce dossier qui divise profondément les Belges et menace la Belgique d'éclatement. De formation juridique, Charles Bricman a entamé sa carrière journalistique au quotidien La Libre Belgique, y débutant comme pigiste en même temps qu'il poursuivait ses études de droit, à l'université libre de Bruxelles (ULB). Il intègre la rédaction politique du quotidien en 1979. En 1983, il quitte La Libre Belgique pour participer à la création de l'hebdomadaire Le Vif, devenu Le Vif - L'Express en 1985. Il y est responsable de la rubrique "Belgique" et y couvre l'actualité politique, économique et sociale. En octobre 1986, Bricman rejoint la rédaction politique du quotidien Le Soir et en devient secrétaire de rédaction. Il met un terme provisoire à sa carrière journalistique en 1990 pour créer et diriger le service juridique de l'ULB. En 2001, il prend la tête d'un centre de recherche et de transfert de technologies de l'ULB spécialisé dans les sciences du vivant. À partir de 2005, Charles Bricman se lance dans une activité d'auteur, de chroniqueur politique et de conseiller en communication. Il collabore avec le Musée de l'Europe et la société Tempora pour la conception de diverses expositions. En 2008-2009, il publie une chronique politique régulière dans Le Soir. Depuis juin 2009, il participait à une émission hebdomadaire de la radio privée Bel-RTL consacrée à la communication politique ("Sans langue de bois"). Par contre, il boudera la version télévisée dominicale de RTL TVI. Il abandonne l'émission lors de la rentrée de septembre 2011, estimant ne plus pouvoir commenter la « vacuité » du monde politique belge. Charles Bricman publie depuis janvier 2007 le blog "On a des choses à se dire". Il est l'auteur, avec l'avocat Mischaël Modrikamen, d'un ouvrage d'actualité publié en mai 2009, Fortis jusqu'au bout. Depuis 2013, Charles Bricman est juriste au service d'études du Rectorat de l'université de Namur.
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Charles Bricman est un auteur et journaliste belge, né à Bruxelles (Uccle) le 23 janvier 1953. Observateur de l'actualité politique, il est spécialisé dans les problèmes communautaires en Belgique. Bruxellois francophone, il s'efforce de comprendre les mouvements de l'opinion, tant flamande que francophone, et préconise une approche non partisane de ce dossier qui divise profondément les Belges et menace la Belgique d'éclatement. De formation juridique, Charles Bricman a entamé sa carrière journalistique au quotidien La Libre Belgique, y débutant comme pigiste en même temps qu'il poursuivait ses études de droit, à l'université libre de Bruxelles (ULB). Il intègre la rédaction politique du quotidien en 1979. En 1983, il quitte La Libre Belgique pour participer à la création de l'hebdomadaire Le Vif, devenu Le Vif - L'Express en 1985. Il y est responsable de la rubrique "Belgique" et y couvre l'actualité politique, économique et sociale. En octobre 1986, Bricman rejoint la rédaction politique du quotidien Le Soir et en devient secrétaire de rédaction. Il met un terme provisoire à sa carrière journalistique en 1990 pour créer et diriger le service juridique de l'ULB. En 2001, il prend la tête d'un centre de recherche et de transfert de technologies de l'ULB spécialisé dans les sciences du vivant. À partir de 2005, Charles Bricman se lance dans une activité d'auteur, de chroniqueur politique et de conseiller en communication. Il collabore avec le Musée de l'Europe et la société Tempora pour la conception de diverses expositions. En 2008-2009, il publie une chronique politique régulière dans Le Soir. Depuis juin 2009, il participait à une émission hebdomadaire de la radio privée Bel-RTL consacrée à la communication politique ("Sans langue de bois"). Par contre, il boudera la version télévisée dominicale de RTL TVI. Il abandonne l'émission lors de la rentrée de septembre 2011, estimant ne plus pouvoir commenter la « vacuité » du monde politique belge. […]