Photo © Des ronds dans l'O
Yves Leclercq est né dans une cité minière au nord de Liège pendant les grandes grèves de 1960. «J'attendais patiemment que les ouvriers enlèvent les pavés des rues. Ils ont d'ailleurs servi à la démolition de la Gare principale de Liège ! Le calme revenu... je suis venu au monde !». Après des études de photographie aux Beaux-Arts de Liège où il découvre la magie de la photocopieuse couleur, il obtient son diplôme sans jamais avoir pris une photo ! Pas particulièrement féru de bande dessinée, c'est par Georges Van Linthout, un ami de trente ans, qu'il tombe dans le 9e art, presque par hasard. En 1994, Yves Leclercq imagine une histoire destinée aux Editions du Lombard. Prévue en un tome, elle en comptera trois. Grand lecteur d'ouvrages d'histoire, ses sources d'inspiration sont assez floues : musicales avec Malher, Massive Attack, Radio Head, le Blues ; graphiques avec Barber, Gorecki, Stieglitz, Steichen, Friedlander, Klein, les peintres symbolistes et littéraire : la poésie, WB Yeats, Apollinaire pour le Guetteur mélancolique et la poésie japonaise. Pour La Nuit du lièvre, ce père de trois grands enfants se réfère à ses souvenirs, à ceux de sa famille et de ses amis, et replace l'action dans des lieux de son enfance. Tout est pour Yves Leclercq source d'inspiration, aussi bien la poésie que les balades dans les cimetières. Aux éditions du Lombard : Falkenberg (Dessins de G. Van Linhout) (3 tomes).
Texte © Delcourt
Photo © Des ronds dans l'O
Yves Leclercq est né dans une cité minière au nord de Liège pendant les grandes grèves de 1960. «J'attendais patiemment que les ouvriers enlèvent les pavés des rues. Ils ont d'ailleurs servi à la démolition de la Gare principale de Liège ! Le calme revenu... je suis venu au monde !». Après des études de photographie aux Beaux-Arts de Liège où il découvre la magie de la photocopieuse couleur, il obtient son diplôme sans jamais avoir pris une photo ! Pas particulièrement féru de bande dessinée, c'est par Georges Van Linthout, un ami de trente ans, qu'il tombe dans le 9e art, presque par hasard. En 1994, Yves Leclercq imagine une histoire destinée aux Editions du Lombard. Prévue en un tome, elle en comptera trois. Grand lecteur d'ouvrages d'histoire, ses sources d'inspiration sont assez floues : musicales avec Malher, Massive Attack, Radio Head, le Blues ; graphiques avec Barber, Gorecki, Stieglitz, Steichen, Friedlander, Klein, les peintres symbolistes et littéraire : la poésie, WB Yeats, Apollinaire pour le Guetteur mélancolique et la poésie japonaise. Pour La Nuit du lièvre, ce père de trois grands enfants se réfère à ses souvenirs, à ceux de sa famille et de ses amis, et replace l'action dans des lieux de son enfance. Tout est pour Yves Leclercq source d'inspiration, aussi bien la poésie que les balades dans les cimetières. Aux éditions du Lombard : Falkenberg (Dessins de G. Van Linhout) (3 tomes).
Texte © Delcourt