Léo Eugène Hector Claretie, né à Merbes-le-Château en Belgique le 2 juin 1862 et mort à Servon-sur-Vilaine le 16 juillet 1924, est un journaliste, critique littéraire et romancier français. Il est diplômé de l'École normale supérieure, agrégé de lettres et docteur ès lettres. Rédacteur et chroniqueur au Temps, au Figaro, au Gaulois, au Journal des débats, à la Revue des deux Mondes et à la Revue de Paris, il est l'auteur d'ouvrages d'histoire littéraire, de récits de voyages et de romans. Il est connu aussi pour avoir publié en 1900 une version de la célèbre dictée de Mérimée. Il meurt le 16 juillet 1924 à Servon-sur-Vilaine, en se jetant du train lors d'un voyage qu'il effectuait dans le rapide Paris-Brest. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (95e division). Léo Claretie était le cousin germain de Jules Claretie ainsi que le premier époux d'Henriette Rainouard, devenue plus tard Henriette Caillaux, qui devait assassiner le journaliste Gaston Calmette. Au début du XXe siècle, il habitait au 44 avenue Niel dans le XVIIe arrondissement de Paris, puis 6 square Thiers dans le 16e arrondissement (1923).
Texte et photo © Wikipédia
Léo Eugène Hector Claretie, né à Merbes-le-Château en Belgique le 2 juin 1862 et mort à Servon-sur-Vilaine le 16 juillet 1924, est un journaliste, critique littéraire et romancier français. Il est diplômé de l'École normale supérieure, agrégé de lettres et docteur ès lettres. Rédacteur et chroniqueur au Temps, au Figaro, au Gaulois, au Journal des débats, à la Revue des deux Mondes et à la Revue de Paris, il est l'auteur d'ouvrages d'histoire littéraire, de récits de voyages et de romans. Il est connu aussi pour avoir publié en 1900 une version de la célèbre dictée de Mérimée. Il meurt le 16 juillet 1924 à Servon-sur-Vilaine, en se jetant du train lors d'un voyage qu'il effectuait dans le rapide Paris-Brest. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (95e division). Léo Claretie était le cousin germain de Jules Claretie ainsi que le premier époux d'Henriette Rainouard, devenue plus tard Henriette Caillaux, qui devait assassiner le journaliste Gaston Calmette. Au début du XXe siècle, il habitait au 44 avenue Niel dans le XVIIe arrondissement de Paris, puis 6 square Thiers dans le 16e arrondissement (1923).
Texte et photo © Wikipédia