Natsu Hyuuga débute Les Carnets de l’apothicaire en 2011, sous la forme d’un roman gratuit mis en ligne sur la célèbre plateforme Shosetsuka ni naro (“Devenons écrivains !”). Elle n’en est pas à son premier essai, mais celui-ci change la donne : très vite, les vues se multiplient, les commentaires affluent. Face à un tel succès, la maison d’édition Shufunotomo lui propose de la publier et, dès l’année suivante, son roman sort en librairie. Depuis, il ne cesse de gagner en notoriété, avec pas moins de deux adaptations en manga ! Natsu Hyuuga dépeint avec talent une Chine ancienne à la fois réaliste et fantasmée. Sa passion pour cette culture se manifeste par sa fascination pour Wu Zetian, la seule impératrice connue de l’empire du Milieu. La Chine imaginaire de l’écrivain japonais Kenichi Sakemi est aussi une source d’inspiration profonde pour son œuvre… Mais l’autrice ne s’arrête pas là ; grande amatrice des Contes du Magatama, chef-d’œuvre de la littérature jeunesse japonaise, ou du shojo Le Royaume des couleurs, elle bâtit son univers à partir de sources variées. Quant aux ingénieuses énigmes qui font le sel de son récit, elles reposent sur des connaissances en médecine traditionnelle tirées d’ouvrages spécialisés et de reportages.
Texte © Ki-oon
Natsu Hyuuga débute Les Carnets de l’apothicaire en 2011, sous la forme d’un roman gratuit mis en ligne sur la célèbre plateforme Shosetsuka ni naro (“Devenons écrivains !”). Elle n’en est pas à son premier essai, mais celui-ci change la donne : très vite, les vues se multiplient, les commentaires affluent. Face à un tel succès, la maison d’édition Shufunotomo lui propose de la publier et, dès l’année suivante, son roman sort en librairie. Depuis, il ne cesse de gagner en notoriété, avec pas moins de deux adaptations en manga ! Natsu Hyuuga dépeint avec talent une Chine ancienne à la fois réaliste et fantasmée. Sa passion pour cette culture se manifeste par sa fascination pour Wu Zetian, la seule impératrice connue de l’empire du Milieu. La Chine imaginaire de l’écrivain japonais Kenichi Sakemi est aussi une source d’inspiration profonde pour son œuvre… Mais l’autrice ne s’arrête pas là ; grande amatrice des Contes du Magatama, chef-d’œuvre de la littérature jeunesse japonaise, ou du shojo Le Royaume des couleurs, elle bâtit son univers à partir de sources variées. Quant aux ingénieuses énigmes qui font le sel de son récit, elles reposent sur des connaissances en médecine traditionnelle tirées d’ouvrages spécialisés et de reportages.
Texte © Ki-oon