Après son 1er CFC de concepteur multimédia, Steve Egger effectue son service court — faut pas pousser non plus — en tant que chauffeur poids lourds. 300 jours de service qu’il met à profit comme matière d’inspiration. Il griffonne toutes les histoires qu’il observe et qu’il entend. Passionné de graphisme, il dessine et peint « dans un genre fantastique ». Mais le vrai travail ne commence qu’une fois le service terminé. De longues nuits à croquer sur sa grande table à dessin. Lentement, sa BD prend forme. Une fois terminée, il tente sa chance dans plusieurs maisons d’éditions mais essuie plusieurs refus. Abattu, il créé alors une page Facebook qui rencontre aussitôt un succès fulgurant. Que cela ne tienne, une campagne de crowdfunding est lancée sur wemakeit.ch. S’il réussi son pari, plus de 1’500 exemplaires seront imprimés et mis en vente. Et si cela marche, Steve prévoit de faire traduire sa BD en suisse-allemand et en tessinois.
Après son 1er CFC de concepteur multimédia, Steve Egger effectue son service court — faut pas pousser non plus — en tant que chauffeur poids lourds. 300 jours de service qu’il met à profit comme matière d’inspiration. Il griffonne toutes les histoires qu’il observe et qu’il entend. Passionné de graphisme, il dessine et peint « dans un genre fantastique ». Mais le vrai travail ne commence qu’une fois le service terminé. De longues nuits à croquer sur sa grande table à dessin. Lentement, sa BD prend forme. Une fois terminée, il tente sa chance dans plusieurs maisons d’éditions mais essuie plusieurs refus. Abattu, il créé alors une page Facebook qui rencontre aussitôt un succès fulgurant. Que cela ne tienne, une campagne de crowdfunding est lancée sur wemakeit.ch. S’il réussi son pari, plus de 1’500 exemplaires seront imprimés et mis en vente. Et si cela marche, Steve prévoit de faire traduire sa BD en suisse-allemand et en tessinois.