Photo © Nicolas Guérin
Riyoko Ikeda est née à Osaka, au Japon. Ce qu'on sait d'elle, c'est qu'elle a toujours aimé le dessin, au point d'interrompre ses études de littérature et de philosophie, à l'université de Tokyo Kyoiku. En 1967, elle fait ses débuts de mangaka avec «Bara Yashiki no Shôjo » ("La Jeune Fille de la Demeure des Roses"). Cinq ans plus tard, "Versailles no Bara" ("La Rose de Versailles"/ "Lady Oscar"- dans la v.f.:) est publié dans "Shûkan Margaret", hebdomadaire de mangas pour jeunes filles. "Versailles no Bara" connaît alors un énorme succès, et il est vite proposé sous diverses formes: dessin animé, opérette, film cinématographique... Après avoir choisi la Révolution française comme toile de fond de son récit, Riyoko Ikeda s'intéresse à la Révolution russe, et commence un nouveau manga: la publication d'"Orpheus no Mado" ("La Fenêtre d'Orphée") débute en 1981. C'est un manga qui vaudra à l'auteur d'être lauréate du 9e Prix d'Excellence de l'Association japonaise des Auteurs de Mangas. À partir de 1982, la créatrice de "Lady Oscar" élargit son champ d'action. Elle commence à écrire des articles de fond pour des magazines "grand public", comme l'"Asahi Journal": on peut y lire l'opinion de l'auteur sur la condition des femmes, ou encore son point de vue sur des faits historiques marquants. En 1999, elle décroche un nouveau diplôme en sortant de la prestigieuse Université de Musique de Tokyo. Depuis, elle parcourt le Japon, accompagnée du pianiste Hiroshi, et elle remplit les salles de concert. Aujourd'hui, il reste peu de domaines auxquels elle n'a pas encore touché. Elle est mangaka, écrivain, essayiste, traductrice, comédienne et chanteuse... Une femme pour le moins polyvalente !
Texte © Kana
Photo © Nicolas Guérin
Riyoko Ikeda est née à Osaka, au Japon. Ce qu'on sait d'elle, c'est qu'elle a toujours aimé le dessin, au point d'interrompre ses études de littérature et de philosophie, à l'université de Tokyo Kyoiku. En 1967, elle fait ses débuts de mangaka avec «Bara Yashiki no Shôjo » ("La Jeune Fille de la Demeure des Roses"). Cinq ans plus tard, "Versailles no Bara" ("La Rose de Versailles"/ "Lady Oscar"- dans la v.f.:) est publié dans "Shûkan Margaret", hebdomadaire de mangas pour jeunes filles. "Versailles no Bara" connaît alors un énorme succès, et il est vite proposé sous diverses formes: dessin animé, opérette, film cinématographique... Après avoir choisi la Révolution française comme toile de fond de son récit, Riyoko Ikeda s'intéresse à la Révolution russe, et commence un nouveau manga: la publication d'"Orpheus no Mado" ("La Fenêtre d'Orphée") débute en 1981. C'est un manga qui vaudra à l'auteur d'être lauréate du 9e Prix d'Excellence de l'Association japonaise des Auteurs de Mangas. À partir de 1982, la créatrice de "Lady Oscar" élargit son champ d'action. Elle commence à écrire des articles de fond pour des magazines "grand public", comme l'"Asahi Journal": on peut y lire l'opinion de l'auteur sur la condition des femmes, ou encore son point de vue sur des faits historiques marquants. En 1999, elle décroche un nouveau diplôme en sortant de la prestigieuse Université de Musique de Tokyo. Depuis, elle parcourt le Japon, accompagnée du pianiste Hiroshi, et elle remplit les salles de concert. Aujourd'hui, il reste peu de domaines auxquels elle n'a pas encore touché. Elle est mangaka, écrivain, essayiste, traductrice, comédienne et chanteuse... Une femme pour le moins polyvalente !
Texte © Kana