De son vrai nom Akira Matsumoto, Leiji est né le 25 janvier 1938 au Japon près de Fukuoka (pour ceux qui ont du mal avec la géographie, c'est l'île japonaise la plus au sud). Il commence ses premiers dessins dès 8 ans, inspiré par les dessins animés de Walt Disney (Blanche-Neige) mais aussi du style d'Osamu Tesuka (dessinateur japonais de cette époque). En 53, il participe à un concours de jeunes talents organisé par un magazine Manga Shônen. Son premier manga Mitsubachi no bôken (les aventures d'une abeille) est publié en février 1954. Il publie ainsi plusieurs mangas dans ce magazine, toujours de son vrai nom. En 1965, il commence à utiliser un nom d'emprunt : Leiji (Reiji en japonais, ce qui veut dire ''guerrier zéro''). En 1957, à la sortie du lycée, Leiji part à Tokyo pour créer des mangas. Pendant 6 ans, il publie à la chaîne de nombreuses histoires destinés à des magazines de filles ! Lot commun pour de nombreux artistes de l'époque. C'est à cette époque qu'il épouse Miyako Maki auteur de manga aussi. En 1968, il publie sa première BD de science fiction : Sexaroid. Ce manga a un style très particulier (jeunes héroïnes très longilignes et nains hideux) et a beaucoup de succès et permet à Leijide se consacrer à des histoires plus masculines. C'est à cette époque qu'il crée le capitaine Harlock, qui fit sa renommée. La suite de sa carrière se partage en trois genres : science fiction (Galaxy Express, Albator et Yamato), la guerre (The Cockpit, Les champs de bataille) et le western (Grand Ouest, Gun Frontier). Le début de la célébrité est marqué en 1973 par la publication de Otoko Oidon dont le titre est traduit par : Je suis un homme. Actuellement, Matsumoto travaille sur plusieurs série en même temps et perfectionne son graphisme. Matsumoto restera dans l'histoire du manga non seulement pour la façon dont il dessinait ses femmes longilignes, mais aussi pour le style général de ses mangas : en effet il les termine presque d'une façon brutale ! De plus, il fait de nombreux cross-over sur ses personnages les plus connus : Albator apparaît dans une bonne vingtaine de mangas. Matsumoto est aussi le créateur de la série Queen Emeraldas la concurrente directe d'Albator.
De son vrai nom Akira Matsumoto, Leiji est né le 25 janvier 1938 au Japon près de Fukuoka (pour ceux qui ont du mal avec la géographie, c'est l'île japonaise la plus au sud). Il commence ses premiers dessins dès 8 ans, inspiré par les dessins animés de Walt Disney (Blanche-Neige) mais aussi du style d'Osamu Tesuka (dessinateur japonais de cette époque). En 53, il participe à un concours de jeunes talents organisé par un magazine Manga Shônen. Son premier manga Mitsubachi no bôken (les aventures d'une abeille) est publié en février 1954. Il publie ainsi plusieurs mangas dans ce magazine, toujours de son vrai nom. En 1965, il commence à utiliser un nom d'emprunt : Leiji (Reiji en japonais, ce qui veut dire ''guerrier zéro''). En 1957, à la sortie du lycée, Leiji part à Tokyo pour créer des mangas. Pendant 6 ans, il publie à la chaîne de nombreuses histoires destinés à des magazines de filles ! Lot commun pour de nombreux artistes de l'époque. C'est à cette époque qu'il épouse Miyako Maki auteur de manga aussi. En 1968, il publie sa première BD de science fiction : Sexaroid. Ce manga a un style très particulier (jeunes héroïnes très longilignes et nains hideux) et a beaucoup de succès et permet à Leijide se consacrer à des histoires plus masculines. C'est à cette époque qu'il crée le capitaine Harlock, qui fit sa renommée. La suite de sa carrière se partage en trois genres : science fiction (Galaxy Express, Albator et Yamato), la guerre (The Cockpit, Les champs de bataille) et le western (Grand Ouest, Gun Frontier). Le début de la célébrité est marqué en 1973 par la publication de Otoko Oidon dont le titre est traduit par : Je suis un homme. Actuellement, Matsumoto travaille sur plusieurs série en même temps et perfectionne son graphisme. Matsumoto restera dans l'histoire du manga non seulement pour la façon dont il dessinait ses femmes longilignes, mais aussi pour le style général de ses mangas : en effet il les termine presque d'une façon brutale ! De plus, il fait de […]