Bernard Chabbert est un journaliste et auteur français né à Casablanca (Maroc) le 21 avril 1944. Son père fut pilote à l'Aéropostale à partir de 1929, sur la ligne Toulouse-Dakar. Il devint chef d'escale à Villa Cisneros (comme Antoine de Saint-Exupéry le fut à Cap Juby), puis il dirigea l'exploitation des avions terrestres d'Air France à Dakar à partir de 1933. Après la guerre, il participera à la renaissance de l'exploitation à Orly puis développera deux filiales : Air Atlas, qui deviendra Royal Air Maroc, et Air Madagascar, avant d'aider à la fondation d'Air Mauritius. Bernard Chabbert a commencé à piloter à Madagascar à l'Aero Club Air France avec comme instructeur Marcel Henriet, à l'âge de 15 ans Il a alors volé sur Auster Mk V, Leopoldoff, Jodel D 117 et DH Chipmunk. Il souhaitait devenir pilote de ligne et aurait aimé pouvoir passer le concours de l'ÉNAC, mais il n'avait pas l'acuité visuelle standard de l'époque. Il continue néanmoins à voler, entre autres durant l'été 1965 à Air Djibouti sur DC 3 et Beech 18 comme « sac de sable », cet avion n'ayant pas réglementairement de copilote, et effectue près de 400 heures en trois mois.
Texte et photo © Wikipédia
Bernard Chabbert est un journaliste et auteur français né à Casablanca (Maroc) le 21 avril 1944. Son père fut pilote à l'Aéropostale à partir de 1929, sur la ligne Toulouse-Dakar. Il devint chef d'escale à Villa Cisneros (comme Antoine de Saint-Exupéry le fut à Cap Juby), puis il dirigea l'exploitation des avions terrestres d'Air France à Dakar à partir de 1933. Après la guerre, il participera à la renaissance de l'exploitation à Orly puis développera deux filiales : Air Atlas, qui deviendra Royal Air Maroc, et Air Madagascar, avant d'aider à la fondation d'Air Mauritius. Bernard Chabbert a commencé à piloter à Madagascar à l'Aero Club Air France avec comme instructeur Marcel Henriet, à l'âge de 15 ans Il a alors volé sur Auster Mk V, Leopoldoff, Jodel D 117 et DH Chipmunk. Il souhaitait devenir pilote de ligne et aurait aimé pouvoir passer le concours de l'ÉNAC, mais il n'avait pas l'acuité visuelle standard de l'époque. Il continue néanmoins à voler, entre autres durant l'été 1965 à Air Djibouti sur DC 3 et Beech 18 comme « sac de sable », cet avion n'ayant pas réglementairement de copilote, et effectue près de 400 heures en trois mois.
Texte et photo © Wikipédia