Elle est née en 1963 à Weinheim, en Allemagne. Issue de cinq nationalités différentes, elle a vécu au Chili jusqu'en 1973, année où le putsch militaire a contraint sa famille à s'exiler en France, dans la banlieue parisienne. Plutôt paumée, Alexandra Carrasco-Rahal fait hypokhâgne et khâgne pour se donner le temps de réfléchir. Ensuite, c'est la fac de philo où elle s'arrête au DEA. Il faut dire qu'elle devient alors maman. C'est à son père qu'elle doit ses premiers pas dans la traduction. Il a un groupe de musique - les Quilapayun, très célèbres dans les années 1970. Elle traduit les textes de leurs chansons. Ensuite, toujours grâce à son père, elle traduit des textes intraduisibles du peintre Matta. Entre-temps, elle est entrée comme stagiaire chez Fayard pendant ses études et découvre le métier de traducteur, qu'elle exerce à présent aussi bien pour les romans que la bande dessinée.
Elle est née en 1963 à Weinheim, en Allemagne. Issue de cinq nationalités différentes, elle a vécu au Chili jusqu'en 1973, année où le putsch militaire a contraint sa famille à s'exiler en France, dans la banlieue parisienne. Plutôt paumée, Alexandra Carrasco-Rahal fait hypokhâgne et khâgne pour se donner le temps de réfléchir. Ensuite, c'est la fac de philo où elle s'arrête au DEA. Il faut dire qu'elle devient alors maman. C'est à son père qu'elle doit ses premiers pas dans la traduction. Il a un groupe de musique - les Quilapayun, très célèbres dans les années 1970. Elle traduit les textes de leurs chansons. Ensuite, toujours grâce à son père, elle traduit des textes intraduisibles du peintre Matta. Entre-temps, elle est entrée comme stagiaire chez Fayard pendant ses études et découvre le métier de traducteur, qu'elle exerce à présent aussi bien pour les romans que la bande dessinée.