Né en 1959, Olivier Bour a suivi des études d'arts plastiques à la Sorbonne. Trois artistes l'ont marqué et ont contribué à façonner son travail. Le norvégien Edvar Munch lui fait réaliser la capacité de la peinture à transcrire « les névroses et l'expression d'une conscience révoltée face aux malaises d'une société ». L'américain Don Eddy lui fait découvrir l'hyperréalisme... Ce qui a pour conséquence un rendu réaliste de ses personnages, traités en volume et en dégradés de couleurs. Quant au hollandais Piet Mondrian, celui-ci lui offre « la forme épurée », amenant l'artiste à simplifier les décors. Ces rencontres se traduisent dans des « instantanés », séquences de vie imaginées par l'artiste-peintre. Les scènes sont souvent représentées au travers d'une fenêtre, inspirées des cadrages photographiques et cinématographiques, faisant penser à des zooms, dans des plans de film.
Né en 1959, Olivier Bour a suivi des études d'arts plastiques à la Sorbonne. Trois artistes l'ont marqué et ont contribué à façonner son travail. Le norvégien Edvar Munch lui fait réaliser la capacité de la peinture à transcrire « les névroses et l'expression d'une conscience révoltée face aux malaises d'une société ». L'américain Don Eddy lui fait découvrir l'hyperréalisme... Ce qui a pour conséquence un rendu réaliste de ses personnages, traités en volume et en dégradés de couleurs. Quant au hollandais Piet Mondrian, celui-ci lui offre « la forme épurée », amenant l'artiste à simplifier les décors. Ces rencontres se traduisent dans des « instantanés », séquences de vie imaginées par l'artiste-peintre. Les scènes sont souvent représentées au travers d'une fenêtre, inspirées des cadrages photographiques et cinématographiques, faisant penser à des zooms, dans des plans de film.