Jean-Luc Navette, après un cursus en école d’art (Émile Cohl, de 1994 à 1999) s’essaie au tatouage. Un apprentissage chez un tatoueur local plus tard, il ouvre sa propre enseigne en 2003 nommé « VivaDolor », où il tatoue jusqu’à ce jour. Il ne lâche pas l’illustration pour autant et réalise des travaux pour des groupes de musique tels que Heavy Trash, Overmars/Starkweather, et the Dad Horse Experience. Son univers très personnel lui vaudra de paraître dans plusieurs ouvrages comme « Black Tattoo Art », « Tattooisme » et « La Veine Graphique » (Noire Méduse Édition). Récemment, ses travaux se sont affichés dans les pages du journal Le Monde et furent exposés à la Halle St Pierre à Paris lors de l’exposition de la revue Hey! à côté de noms aussi prestigieux qu’intimidants tels que Robert Crumb, Jeff Soto ou encore Kris Kuksi.
Jean-Luc Navette, après un cursus en école d’art (Émile Cohl, de 1994 à 1999) s’essaie au tatouage. Un apprentissage chez un tatoueur local plus tard, il ouvre sa propre enseigne en 2003 nommé « VivaDolor », où il tatoue jusqu’à ce jour. Il ne lâche pas l’illustration pour autant et réalise des travaux pour des groupes de musique tels que Heavy Trash, Overmars/Starkweather, et the Dad Horse Experience. Son univers très personnel lui vaudra de paraître dans plusieurs ouvrages comme « Black Tattoo Art », « Tattooisme » et « La Veine Graphique » (Noire Méduse Édition). Récemment, ses travaux se sont affichés dans les pages du journal Le Monde et furent exposés à la Halle St Pierre à Paris lors de l’exposition de la revue Hey! à côté de noms aussi prestigieux qu’intimidants tels que Robert Crumb, Jeff Soto ou encore Kris Kuksi.