Kaye Blegvad est une illustratrice, designer et céramiste anglaise qui vit entre Londres et Brooklyn. Ses dessins à l’imagerie naïve évoque la simplicité des dessins d’enfants. Elle délaisse la précision et le réalisme au profit de la spontanéité du trait et de l’idée. Baignée dans l’art depuis son enfance – sa mère est peintre, son père est illustrateur -, elle commence à 5 ans une série de livres qu’elle illustre de dessin de chats, de filles et de mort, annonçant son oeuvre à venir. Adolescente, Kaye Blegvad quitte Londres – sa ville natale – pour continuer ses études à Brighton. L’école lui ouvre un horizon de possibilités dans le monde de l’illustration (dessins pour enfants, illustrations, décors de films, animations, costumes). Une fois son diplôme en poche, elle part à New York faire un stage chez l’artiste Kiki SMith. Elle rencontre par hasard Steve Heller (directeur artistique/journaliste/critique) à qui elle montre son portfolio. Il lui présente alors quelques directeurs artistiques du New York Times avec qui elle commence à collaborer. Kaye Blegvad fabrique également des objets. Elle utilise l’argile depuis son enfance. Elle aime la sensation de solidité et de réalité que lui procure la céramique.
Kaye Blegvad est une illustratrice, designer et céramiste anglaise qui vit entre Londres et Brooklyn. Ses dessins à l’imagerie naïve évoque la simplicité des dessins d’enfants. Elle délaisse la précision et le réalisme au profit de la spontanéité du trait et de l’idée. Baignée dans l’art depuis son enfance – sa mère est peintre, son père est illustrateur -, elle commence à 5 ans une série de livres qu’elle illustre de dessin de chats, de filles et de mort, annonçant son oeuvre à venir. Adolescente, Kaye Blegvad quitte Londres – sa ville natale – pour continuer ses études à Brighton. L’école lui ouvre un horizon de possibilités dans le monde de l’illustration (dessins pour enfants, illustrations, décors de films, animations, costumes). Une fois son diplôme en poche, elle part à New York faire un stage chez l’artiste Kiki SMith. Elle rencontre par hasard Steve Heller (directeur artistique/journaliste/critique) à qui elle montre son portfolio. Il lui présente alors quelques directeurs artistiques du New York Times avec qui elle commence à collaborer. Kaye Blegvad fabrique également des objets. Elle utilise l’argile depuis son enfance. Elle aime la sensation de solidité et de réalité que lui procure la céramique.