Longtemps chef du département d’oncologie-radiothérapie de l’Institut Curie à Paris, il a passé la plus grande partie de sa vie à traiter des cohortes de patients, à scruter des milliers de prostates, à traquer la moindre métastase et à lutter contre cette «saloperie de cancer». Alors, à ses moments libres, souvent dans les halls d’aéroports entre deux avions qui le mènent d’une conférence scientifique internationale à Atlanta (Etats-Unis) à un colloque sur la radioprotection à Córdoba (Argentine), il écrit des polars et règle impitoyablement ses comptes avec les puissants et les «méchants». Conférencier international, membre de la commission française de radioprotection, auteur d’ouvrages de vulgarisation (Des rayons contre le cancer), nouvelliste et auteur de bande dessinée (il a décroché un troisième prix à Angoulême pour un ouvrage de science-fiction «un peu trash», réalisé avec l’un de ses fils), Jean-Marc Cosset a été marié deux fois et est le père de quatre enfants.
Longtemps chef du département d’oncologie-radiothérapie de l’Institut Curie à Paris, il a passé la plus grande partie de sa vie à traiter des cohortes de patients, à scruter des milliers de prostates, à traquer la moindre métastase et à lutter contre cette «saloperie de cancer». Alors, à ses moments libres, souvent dans les halls d’aéroports entre deux avions qui le mènent d’une conférence scientifique internationale à Atlanta (Etats-Unis) à un colloque sur la radioprotection à Córdoba (Argentine), il écrit des polars et règle impitoyablement ses comptes avec les puissants et les «méchants». Conférencier international, membre de la commission française de radioprotection, auteur d’ouvrages de vulgarisation (Des rayons contre le cancer), nouvelliste et auteur de bande dessinée (il a décroché un troisième prix à Angoulême pour un ouvrage de science-fiction «un peu trash», réalisé avec l’un de ses fils), Jean-Marc Cosset a été marié deux fois et est le père de quatre enfants.