Akvilė Magicdust, de son vrai nom Akvilė Misevičiūtė, vit et travaille à Vilnius (Lituanie). Elle étudie d’abord à la Vilnius Academy of Fine Arts avant d’obtenir son master à la LUCA School of Arts in Brussels. À Vilnius, elle partage un atelier avec d’autres artistes, où elle travaille en tant qu’illustratrice freelance. Son travail est à la fois un reflet de l’ambiance froide, voire frigide, de l’Europe du Nord, compensée par des teintes de couleurs tropicales, tandis que ses récits laconiques sont véhiculés de manière picturale et primitiviste, mettant souvent en scène des paysages urbains habités par une faune exotique. Si on rajoute à cela que son style est marqué par les influences des milieux du skateboard, du graffiti et du fanzine, on comprend mieux pourquoi Tigre amène sa planche de skate pour son voyage dans la jungle (« Quoi ? J’avais la gueule de bois quand j’ai fait mon sac ») dans Enfants sauvages des tropiques (Les Requins Marteaux, 2019). Akvilė Magicdust (Akvilė « poussière magique », littéralement) a vu son travail présenté lors d’expositions personnelles dans de nombreux pays, que ce soit en Lituanie, Belgique, Espagne, Autriche ou aux États-Unis d’Amérique. Elle a aussi participé à un certain nombre d’expositions collectives avec un certain nombre d’artistes, dans un certain nombre de pays, dont on sait de source sûre qu’ils étaient disposés aux quatre coins du monde. Elle a par ailleurs créé Lucy the confused girl prépublié sur le site vice.com, sorte de spin-off de Enfants sauvages des tropiques, et a été récompensée pour la version originale de ce dernier (Tropical Widchilds) dans un prix orchestré par Wetransfer et le festival ELCAF (East London Comic Arts Festival) en 2018. Enfin, en 2020, elle gagne le prix « Surfer, surfer la jungle » du Festival BD & Internet de Biarritz-plage pour Enfants sauvages des tropiques.
Texte © Les requins Marteaux
Akvilė Magicdust, de son vrai nom Akvilė Misevičiūtė, vit et travaille à Vilnius (Lituanie). Elle étudie d’abord à la Vilnius Academy of Fine Arts avant d’obtenir son master à la LUCA School of Arts in Brussels. À Vilnius, elle partage un atelier avec d’autres artistes, où elle travaille en tant qu’illustratrice freelance. Son travail est à la fois un reflet de l’ambiance froide, voire frigide, de l’Europe du Nord, compensée par des teintes de couleurs tropicales, tandis que ses récits laconiques sont véhiculés de manière picturale et primitiviste, mettant souvent en scène des paysages urbains habités par une faune exotique. Si on rajoute à cela que son style est marqué par les influences des milieux du skateboard, du graffiti et du fanzine, on comprend mieux pourquoi Tigre amène sa planche de skate pour son voyage dans la jungle (« Quoi ? J’avais la gueule de bois quand j’ai fait mon sac ») dans Enfants sauvages des tropiques (Les Requins Marteaux, 2019). Akvilė Magicdust (Akvilė « poussière magique », littéralement) a vu son travail présenté lors d’expositions personnelles dans de nombreux pays, que ce soit en Lituanie, Belgique, Espagne, Autriche ou aux États-Unis d’Amérique. Elle a aussi participé à un certain nombre d’expositions collectives avec un certain nombre d’artistes, dans un certain nombre de pays, dont on sait de source sûre qu’ils étaient disposés aux quatre coins du monde. Elle a par ailleurs créé Lucy the confused girl prépublié sur le site vice.com, sorte de spin-off de Enfants sauvages des tropiques, et a été récompensée pour la version originale de ce dernier (Tropical Widchilds) dans un prix orchestré par Wetransfer et le festival ELCAF (East London Comic Arts Festival) en 2018. Enfin, en 2020, elle gagne le prix « Surfer, surfer la jungle » du Festival BD & Internet de Biarritz-plage pour Enfants sauvages des tropiques.
Texte © Les requins Marteaux