Eugène Saccomano, né le 23 septembre 1936 à Marseille et mort le 7 octobre 2019 à Suresnes, est un journaliste sportif français ayant exercé durant 52 ans sur Europe 1 puis RTL. Il grandit à Salindres où son père est boulanger, puis à Saint-Martin-de-Valgalgues, au nord d'Alès (Gard). Il vit ensuite à Nîmes de 12 à 20 ans. Il pratique le football au Nîmes Olympique. En 1952, alors âgé de seize ans, il remporte le concours du meilleur reporter sportif junior (devant Thierry Roland) organisé par le journal L'Équipe junior. Cette distinction lui permet de se rendre à Helsinki pour les Jeux olympiques d'été.
Il a publié deux autres romans, Goncourt 32 et Une romance marseillaise. Fasciné par Céline et Giono, il montre dans ce dernier roman une certaine culture à laquelle son personnage de commentateur sportif enthousiaste laisse peu penser. Après sa retraite, il partage sa vie entre ses résidences de La Garde-Freinet (Var) dont il a été conseiller municipal et de Rueil-Malmaison. Affaibli par la maladie depuis quelques mois, il est hospitalisé à l'hôpital Foch à Suresnes. Il y meurt le 7 octobre 2019 d'une déficience neurologique.
Eugène Saccomano, né le 23 septembre 1936 à Marseille et mort le 7 octobre 2019 à Suresnes, est un journaliste sportif français ayant exercé durant 52 ans sur Europe 1 puis RTL. Il grandit à Salindres où son père est boulanger, puis à Saint-Martin-de-Valgalgues, au nord d'Alès (Gard). Il vit ensuite à Nîmes de 12 à 20 ans. Il pratique le football au Nîmes Olympique. En 1952, alors âgé de seize ans, il remporte le concours du meilleur reporter sportif junior (devant Thierry Roland) organisé par le journal L'Équipe junior. Cette distinction lui permet de se rendre à Helsinki pour les Jeux olympiques d'été.
Il a publié deux autres romans, Goncourt 32 et Une romance marseillaise. Fasciné par Céline et Giono, il montre dans ce dernier roman une certaine culture à laquelle son personnage de commentateur sportif enthousiaste laisse peu penser. Après sa retraite, il partage sa vie entre ses résidences de La Garde-Freinet (Var) dont il a été conseiller municipal et de Rueil-Malmaison. Affaibli par la maladie depuis quelques mois, il est hospitalisé à l'hôpital Foch à Suresnes. Il y meurt le 7 octobre 2019 d'une déficience neurologique.