Né en juin 1972 à Blanc Mesnil, Christoff Baron partage son temps entre Marseille, Strasbourg (France) et Beyrouth (Liban). Il utilise pour son travail des planches d'échafaudage. Pour son travail artistique, il suit les traces laissées sur les planches par les constructeurs ou les employés des supermarchés. L'œuvre trouve son essence dans le contraste entre l'industrie et l'art, le brut et le peint, l'anonymat et la signature, le hasard et le contrôle. Ses expositions s'inspirent du travail d'écrivains et de cinéastes comme Shakespeare, Sydnet Lumet, Dostoïevski et Buzzati. Son intérêt pour l'iconographie le conduit à travailler de plus en plus pour de nombreuses églises, suivies par d'autres au Royaume-Uni, en Hongrie et à New York. Il est également un grand illustrateur et écrivain.
Texte © Auteur
Né en juin 1972 à Blanc Mesnil, Christoff Baron partage son temps entre Marseille, Strasbourg (France) et Beyrouth (Liban). Il utilise pour son travail des planches d'échafaudage. Pour son travail artistique, il suit les traces laissées sur les planches par les constructeurs ou les employés des supermarchés. L'œuvre trouve son essence dans le contraste entre l'industrie et l'art, le brut et le peint, l'anonymat et la signature, le hasard et le contrôle. Ses expositions s'inspirent du travail d'écrivains et de cinéastes comme Shakespeare, Sydnet Lumet, Dostoïevski et Buzzati. Son intérêt pour l'iconographie le conduit à travailler de plus en plus pour de nombreuses églises, suivies par d'autres au Royaume-Uni, en Hongrie et à New York. Il est également un grand illustrateur et écrivain.
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