Né en 1962 à Lyon dans le quartier de la Croix-Rousse, Patrice Salsa publie depuis 2005. Après « Un garçon naturel » au Rouergue, saisissant portrait en mosaïque d’un enfant cruel parce trop lucide, il s’est livré avec « La Signora Wilson » à une subtile construction située aux confins de l'onirisme, où palazzi enchantés, théâtres, bals masqués, musiques et réminiscences d'une enfance blessée révèlent, tel un motif caché sous une fresque Renaissance, l'entrée d'une chambre dérobée. « La part des anges » revient, tragiquement, sur le thème de l’adolescence et de ses secrets. « Le prix à payer » est un recueil de nouvelles intimistes, sorte de pièce musicale en huit mouvements. Enfin, « Le joueur de théorbe », puis sa version remixée et étendue, « La joueuse de théorbe », explorent les liens entre peinture et photographie, entre désir et image du désir, en équilibre sur la frontière ténue qui sépare le rationnel de l’étrange.
Texte © Babelio
Né en 1962 à Lyon dans le quartier de la Croix-Rousse, Patrice Salsa publie depuis 2005. Après « Un garçon naturel » au Rouergue, saisissant portrait en mosaïque d’un enfant cruel parce trop lucide, il s’est livré avec « La Signora Wilson » à une subtile construction située aux confins de l'onirisme, où palazzi enchantés, théâtres, bals masqués, musiques et réminiscences d'une enfance blessée révèlent, tel un motif caché sous une fresque Renaissance, l'entrée d'une chambre dérobée. « La part des anges » revient, tragiquement, sur le thème de l’adolescence et de ses secrets. « Le prix à payer » est un recueil de nouvelles intimistes, sorte de pièce musicale en huit mouvements. Enfin, « Le joueur de théorbe », puis sa version remixée et étendue, « La joueuse de théorbe », explorent les liens entre peinture et photographie, entre désir et image du désir, en équilibre sur la frontière ténue qui sépare le rationnel de l’étrange.
Texte © Babelio