Ioana Pârvulescu, née le 10 janvier 1960 à Brașov, est une femme de lettres roumaine. Elle enseigne la littérature moderne à l'université de Bucarest, où elle a été étudiante au début des années 1980. Elle a travaillé pour le journal littéraire România Literară, et a traduit des œuvres de Maurice Nadeau, Angelus Silesius et Rainer Maria Rilke. Elle est membre de l'Union des écrivains de Roumanie. Elle a obtenu le Prix de littérature de l'Union européenne en 2013 pour son livre Viaţa începe vineri (La vie commence vendredi). Depuis 1996, elle enseigne la littérature moderne dans cette même faculté, et publie des ouvrages, essais ou romans depuis le début des années 1990, soit juste après la révolution roumaine qui a mis fin au régime de Nicolae Ceaușescu et à l'isolement du pays. Une thèse, en 1999, Prejudecăţi literare. Opţiuni comode în receptarea literaturii române [Préjugés littéraires. Choix de la facilité dans la perception de la littérature roumaine], lui permet d'être gratifiée d'un doctorat ès lettres. Elle assure la coordination d'une collection aux éditions Humanitas et est responsable d'une chronique au journal littéraire Romania literară. Elle est également traductrice de plusieurs auteurs français ou allemand, membre de l’Union des écrivains roumains et membre fondatrice de la Société de littérature comparée en Roumanie. Ces œuvres ont été plusieurs fois primées dont, en 2013, du Prix de littérature de l'Union européenne. Ses livres rencontrent le succès en Roumanie, et certains sont devenus des best-sellers. Comme critique, elle est appréciée pour ses lectures non conventionnelles d'auteurs reconnus. Ses romans utilisent une matière historique, un travail sur les archives et un regard romanesque sur la société et la comédie humaine.
Texte et photo © Wikipédia
Ioana Pârvulescu, née le 10 janvier 1960 à Brașov, est une femme de lettres roumaine. Elle enseigne la littérature moderne à l'université de Bucarest, où elle a été étudiante au début des années 1980. Elle a travaillé pour le journal littéraire România Literară, et a traduit des œuvres de Maurice Nadeau, Angelus Silesius et Rainer Maria Rilke. Elle est membre de l'Union des écrivains de Roumanie. Elle a obtenu le Prix de littérature de l'Union européenne en 2013 pour son livre Viaţa începe vineri (La vie commence vendredi). Depuis 1996, elle enseigne la littérature moderne dans cette même faculté, et publie des ouvrages, essais ou romans depuis le début des années 1990, soit juste après la révolution roumaine qui a mis fin au régime de Nicolae Ceaușescu et à l'isolement du pays. Une thèse, en 1999, Prejudecăţi literare. Opţiuni comode în receptarea literaturii române [Préjugés littéraires. Choix de la facilité dans la perception de la littérature roumaine], lui permet d'être gratifiée d'un doctorat ès lettres. Elle assure la coordination d'une collection aux éditions Humanitas et est responsable d'une chronique au journal littéraire Romania literară. Elle est également traductrice de plusieurs auteurs français ou allemand, membre de l’Union des écrivains roumains et membre fondatrice de la Société de littérature comparée en Roumanie. Ces œuvres ont été plusieurs fois primées dont, en 2013, du Prix de littérature de l'Union européenne. Ses livres rencontrent le succès en Roumanie, et certains sont devenus des best-sellers. Comme critique, elle est appréciée pour ses lectures non conventionnelles d'auteurs reconnus. Ses romans utilisent une matière historique, un travail sur les archives et un regard romanesque sur la société et la comédie humaine.
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