Soumeya Ouarezki est diplômée de l’École des beaux-arts d’Alger. Entre 2009 et 2015, elle travaille en tant qu’illustratrice freelance et fait ses premières expériences en tant que coloriste. En 2011, elle participe aux ateliers de bande dessinée organisés dans le cadre du Festival de la bande dessinée d’Alger et publie des courtes histoires dans les ouvrages collectifs Monstres (Dalimen, 2011), Waratha (Dalimen, 2012) et Les Déchaînés (Dalimen, 2013). Après avoir gagné le prix du meilleur projet au Festival international de la bande dessinée d’Alger avec Les souvenirs de Fatma, album court réalisé avec sa sœur jumelle Safia Ouarezki et Mahmoud Benamar, elle remporte en 2014 le prix de la meilleure bande dessinée en langue nationale pour l’ouvrage Fatma N’Parapluie. Entre 2012 et 2014, elle participe aux côtés de neuf autres auteurs au projet « Reframe », ayant pour but la réalisation d’une bande dessinée sur les liens entre l’Algérie, la Turquie et le Royaume Uni.
Texte © Alifbata
Soumeya Ouarezki est diplômée de l’École des beaux-arts d’Alger. Entre 2009 et 2015, elle travaille en tant qu’illustratrice freelance et fait ses premières expériences en tant que coloriste. En 2011, elle participe aux ateliers de bande dessinée organisés dans le cadre du Festival de la bande dessinée d’Alger et publie des courtes histoires dans les ouvrages collectifs Monstres (Dalimen, 2011), Waratha (Dalimen, 2012) et Les Déchaînés (Dalimen, 2013). Après avoir gagné le prix du meilleur projet au Festival international de la bande dessinée d’Alger avec Les souvenirs de Fatma, album court réalisé avec sa sœur jumelle Safia Ouarezki et Mahmoud Benamar, elle remporte en 2014 le prix de la meilleure bande dessinée en langue nationale pour l’ouvrage Fatma N’Parapluie. Entre 2012 et 2014, elle participe aux côtés de neuf autres auteurs au projet « Reframe », ayant pour but la réalisation d’une bande dessinée sur les liens entre l’Algérie, la Turquie et le Royaume Uni.
Texte © Alifbata
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Fatma au parapluie
