Nathalie Bodin est née à Angers en 1973. Après son Bac arts plastiques, elle suit les cours de communication des Beaux-Arts d’Angers, bien que ses premiers désirs se situent plutôt du côté des illustrations pour enfants. En 1996, elle est nominée au concours d’auteur-illustrateur d’Hasselt, en Belgique. Mais c’est en fait Yoann, qu’elle rencontre une année plus tard à l’atelier angevin La Boîte qui fait Beuh, qui la persuade de se lancer dans la grande aventure de la bande dessinée : elle dessine alors un premier album, Gus le Menteur dont le scénario est écrit par Éric Omond (déjà scénariste de Toto l’Ornithorynque). S’ils pensent réaliser ensemble un projet destiné cette fois aux adultes, elle n’abandonne pas pour autant son plus jeune public et espère même publier un jour ses écrits pour les enfants. Avec Ourachima le Brave, Nathalie Bodin se lance en solo dans un conte aux couleurs pastel et aux accents orientaux. En matière de bandes dessinées, elle apprécie les œuvres de Loisel, Plessix et Prado. Plus généralement, elle aime l’art contemporain.
Texte et photo © Delcourt
Nathalie Bodin est née à Angers en 1973. Après son Bac arts plastiques, elle suit les cours de communication des Beaux-Arts d’Angers, bien que ses premiers désirs se situent plutôt du côté des illustrations pour enfants. En 1996, elle est nominée au concours d’auteur-illustrateur d’Hasselt, en Belgique. Mais c’est en fait Yoann, qu’elle rencontre une année plus tard à l’atelier angevin La Boîte qui fait Beuh, qui la persuade de se lancer dans la grande aventure de la bande dessinée : elle dessine alors un premier album, Gus le Menteur dont le scénario est écrit par Éric Omond (déjà scénariste de Toto l’Ornithorynque). S’ils pensent réaliser ensemble un projet destiné cette fois aux adultes, elle n’abandonne pas pour autant son plus jeune public et espère même publier un jour ses écrits pour les enfants. Avec Ourachima le Brave, Nathalie Bodin se lance en solo dans un conte aux couleurs pastel et aux accents orientaux. En matière de bandes dessinées, elle apprécie les œuvres de Loisel, Plessix et Prado. Plus généralement, elle aime l’art contemporain.
Texte et photo © Delcourt