Doan Bui vient du Mans, où ses parents, originaires du Viêtnam, ont posé leurs valises. Après avoir hésité entre plusieurs métiers – paléontologue ou claviériste dans un groupe de rock –, elle a eu finalement la chance de trouver sa voie : être journaliste. Elle raconte les histoires des autres, et ce, comme grand reporter pour le Nouvel Observateur. En 2013 elle a reçu le prix Albert-Londres pour un article sur les migrants tentant de gagner l’Europe via la Grèce. En 2016, pour son dernier roman Le silence de mon père, elle a reçu le prix Amerigo-Vespucci.
Doan Bui vient du Mans, où ses parents, originaires du Viêtnam, ont posé leurs valises. Après avoir hésité entre plusieurs métiers – paléontologue ou claviériste dans un groupe de rock –, elle a eu finalement la chance de trouver sa voie : être journaliste. Elle raconte les histoires des autres, et ce, comme grand reporter pour le Nouvel Observateur. En 2013 elle a reçu le prix Albert-Londres pour un article sur les migrants tentant de gagner l’Europe via la Grèce. En 2016, pour son dernier roman Le silence de mon père, elle a reçu le prix Amerigo-Vespucci.