Camille Drouet, trilingue et journaliste. Ou l'inverse. Elle travaille pour le Monde, le Courrier International, La Croix, l'Humanité... "Un peu chtimi, un peu andalouse,
Ancienne traductrice et interprète, j’ai tout plaqué pour réaliser mon rêve de gosse, devenir journaliste. En 2009, poussée vers la frontière par la crise économique, j’ai quitté l’Espagne après sept ans de rencontres, de découvertes, d’études, de petits et de grands jobs. La fin d’un Erasmus mal contrôlé, qui ne devait durer que 9 mois. De retour à Lille, sur mon pluvieux pavé natal, j’ai monté une boîte de traduction, enchaîné les allers-retours à Paris, enseigné les langues à Roubaix. Peu à peu, je me suis remémorée ce que disaient les petites fiches que je remplissais à l’école primaire, au collège et au lycée: « Profession envisagée ? Journaliste. » À 30 ans, direction Tours et son école de journalisme ouverte aux candidats à la reconversion professionnelle. Ma première année – spécialisée en presse magazine – a été mise à profit pour découvrir les différents médias. Après une longue hésitation entre la radio et la presse écrite, c’est la plume qui l’a emporté pour la licence pro…"
Camille Drouet, trilingue et journaliste. Ou l'inverse. Elle travaille pour le Monde, le Courrier International, La Croix, l'Humanité... "Un peu chtimi, un peu andalouse,
Ancienne traductrice et interprète, j’ai tout plaqué pour réaliser mon rêve de gosse, devenir journaliste. En 2009, poussée vers la frontière par la crise économique, j’ai quitté l’Espagne après sept ans de rencontres, de découvertes, d’études, de petits et de grands jobs. La fin d’un Erasmus mal contrôlé, qui ne devait durer que 9 mois. De retour à Lille, sur mon pluvieux pavé natal, j’ai monté une boîte de traduction, enchaîné les allers-retours à Paris, enseigné les langues à Roubaix. Peu à peu, je me suis remémorée ce que disaient les petites fiches que je remplissais à l’école primaire, au collège et au lycée: « Profession envisagée ? Journaliste. » À 30 ans, direction Tours et son école de journalisme ouverte aux candidats à la reconversion professionnelle. Ma première année – spécialisée en presse magazine – a été mise à profit pour découvrir les différents médias. Après une longue hésitation entre la radio et la presse écrite, c’est la plume qui l’a emporté pour la licence pro…"