Mariko Kikuchi a longtemps travaillé sous le pseudonyme de Kaoru Ozawa. Véritable spécialiste des essais-mangas reportages, elle a voyagé dans divers endroits extrêmes pour vivre des expériences, qu’elle a ensuite mises en images. Au cours de ses multiples périples, elle a eu l’occasion de manger des insectes, vivre comme une S.D.F., se rendre dans la triste forêt d’Aokigahara (où se suicident de nombreux japonais)… La dureté de ses récits contraste avec ses dessins plus mignons, donnant un décalage des plus fascinants. Avec Mon père alcoolique et moi, la mangaka signait pour la première fois un manga sous son vrai nom. Avec beaucoup de courage, elle a ainsi livré une œuvre forte, probablement à dimension thérapeuthique pour elle, et qui a trouvé un fort écho au Japon.
Texte © Manga News
Mariko Kikuchi a longtemps travaillé sous le pseudonyme de Kaoru Ozawa. Véritable spécialiste des essais-mangas reportages, elle a voyagé dans divers endroits extrêmes pour vivre des expériences, qu’elle a ensuite mises en images. Au cours de ses multiples périples, elle a eu l’occasion de manger des insectes, vivre comme une S.D.F., se rendre dans la triste forêt d’Aokigahara (où se suicident de nombreux japonais)… La dureté de ses récits contraste avec ses dessins plus mignons, donnant un décalage des plus fascinants. Avec Mon père alcoolique et moi, la mangaka signait pour la première fois un manga sous son vrai nom. Avec beaucoup de courage, elle a ainsi livré une œuvre forte, probablement à dimension thérapeuthique pour elle, et qui a trouvé un fort écho au Japon.
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