Quentin Lacoste, dessinateur de talent, puise ses influences à la fois dans l’art tribal africain et dans la peinture contemporaine. Acrylique, encre, pigments, mais aussi sable ou café, ses techniques sont très diverses. En 2004, il crée l'agence de communication visuelle Déjant'Kréation, spécialisée dans le domaine socioculturel (festivals, théâtres, musique, collectivités et associations, etc). En 2005, il lance l'atelier des Yeux et des Mains, atelier d'arts plastiques voyageant à la rencontre des enfants, adolescents et adultes un peu partout en France. En 2006, il conçoit la marque de vêtements Quat'Rues, équitable, biologique et engagée.
Globe-trotter insatiable, il a parcouru l’Afrique de l’Ouest, le Maroc ou l’île Maurice et en a chaque fois ramené des carnets chattoyants, drôles et instructifs. Il aborde les différentes facettes des pays visités sans détours ni clichés. Les Moqueurs, album pour enfants, interrogent notre tolérance à la diversité culturelle et ethnique. Peindre c’est finalement partager avec l’autre mais aussi « assumer un regard sur le monde ».
Texte © Magellan et Cie
Quentin Lacoste, dessinateur de talent, puise ses influences à la fois dans l’art tribal africain et dans la peinture contemporaine. Acrylique, encre, pigments, mais aussi sable ou café, ses techniques sont très diverses. En 2004, il crée l'agence de communication visuelle Déjant'Kréation, spécialisée dans le domaine socioculturel (festivals, théâtres, musique, collectivités et associations, etc). En 2005, il lance l'atelier des Yeux et des Mains, atelier d'arts plastiques voyageant à la rencontre des enfants, adolescents et adultes un peu partout en France. En 2006, il conçoit la marque de vêtements Quat'Rues, équitable, biologique et engagée.
Globe-trotter insatiable, il a parcouru l’Afrique de l’Ouest, le Maroc ou l’île Maurice et en a chaque fois ramené des carnets chattoyants, drôles et instructifs. Il aborde les différentes facettes des pays visités sans détours ni clichés. Les Moqueurs, album pour enfants, interrogent notre tolérance à la diversité culturelle et ethnique. Peindre c’est finalement partager avec l’autre mais aussi « assumer un regard sur le monde ».
Texte © Magellan et Cie