Jean-Jacques Devos, le fils de Jacques Devos, a étudié d'abord les Arts décoratifs à Bruxelles, avant d'entrer à l'Institut Saint-Luc, en section architecture d'intérieur. Sa première participation à la bande dessinée, c'est en scénariste pour son père dans le mini-récit "Bague à tel", paru dans l'hebdomadaire Spirou en 1964. Au long de la carrière de Jacques Devos, son fils va collaborer à maintes reprises, soit pour discuter de l'histoire, soit pour suggérer des titres : il a en effet hérité de sens de jeu de mots familial, comme "Si vis sachem para bellum" (dans Whamoka et Whikilowat en 1966), "Hi-Fi génie" (dans Génial Olivier en 1986) ou encore "Miss cils" (dans Génial Olivier encore en 1988). Parammèlement, Jean-Jacques Devos se lance dans la peinture (pour décorer son bureau d'architecte). On lui suggère de participer à une exposition et un ami l'inscrit au prix Anto Carte au palais des Beaux Arts de Bruxelles : il y est retenu, puis ce sera un deuxième, puis en France un troisième ! À ce dernier, il rencontre Bruno Brel, le neveu du chanteur poète... Devant ce premier succès, il se met en quête d'une bonne galerie à Bruxelles. Sa première exposition ira au-delà de ses espérances : il décide alors de se lancer dans cette nouvelle carrière. Après le décès de son père Jacques Devos, il s’est promis de prolonger l’œuvre de ce dernier : en 2007, il sort un portfolio qui regroupe de nombreux ex-libris dessinés par d’anciens collègues et amis de son père. Il vient en 2007 et 2008 de publier chez Bague-à-tel à La Hulpe un recueil d'histoires inédites de Génial Olivier : Le génie grand D (distribué par Le Coffre-à-BD de Tournefeuille près de Toulouse), ainsi que Les extraterrestres. En 2017, il publie toujours chez Le Coffre à BD "Le dernier tiroir de Jacques Devos", un recueil d'archives tirées des dessins de son père.
Jean-Jacques Devos, le fils de Jacques Devos, a étudié d'abord les Arts décoratifs à Bruxelles, avant d'entrer à l'Institut Saint-Luc, en section architecture d'intérieur. Sa première participation à la bande dessinée, c'est en scénariste pour son père dans le mini-récit "Bague à tel", paru dans l'hebdomadaire Spirou en 1964. Au long de la carrière de Jacques Devos, son fils va collaborer à maintes reprises, soit pour discuter de l'histoire, soit pour suggérer des titres : il a en effet hérité de sens de jeu de mots familial, comme "Si vis sachem para bellum" (dans Whamoka et Whikilowat en 1966), "Hi-Fi génie" (dans Génial Olivier en 1986) ou encore "Miss cils" (dans Génial Olivier encore en 1988). Parammèlement, Jean-Jacques Devos se lance dans la peinture (pour décorer son bureau d'architecte). On lui suggère de participer à une exposition et un ami l'inscrit au prix Anto Carte au palais des Beaux Arts de Bruxelles : il y est retenu, puis ce sera un deuxième, puis en France un troisième ! À ce dernier, il rencontre Bruno Brel, le neveu du chanteur poète... Devant ce premier succès, il se met en quête d'une bonne galerie à Bruxelles. Sa première exposition ira au-delà de ses espérances : il décide alors de se lancer dans cette nouvelle carrière. Après le décès de son père Jacques Devos, il s’est promis de prolonger l’œuvre de ce dernier : en 2007, il sort un portfolio qui regroupe de nombreux ex-libris dessinés par d’anciens collègues et amis de son père. Il vient en 2007 et 2008 de publier chez Bague-à-tel à La Hulpe un recueil d'histoires inédites de Génial Olivier : Le génie grand D (distribué par Le Coffre-à-BD de Tournefeuille près de Toulouse), ainsi que Les extraterrestres. En 2017, il publie toujours chez Le Coffre à BD "Le dernier tiroir de Jacques Devos", un recueil d'archives tirées des dessins de son père.