Jean-Luc Porquet, né le 11 juin 1954, est un journaliste français. Étudiant à l'Institut catholique d'arts et métiers de Lille, Jean-Luc Porquet lance à la fin de 1973, avec Jérôme Hue, Philippe Robinet et Jean-Yves Quinette, un périodique étudiant, Le Clampin libéré. L'année d'après il entre à l'École supérieure de journalisme de Lille (50e promotion). Les dessinateurs Phil Casoar et Cenvint rejoignent Le Clampin libéré, qui devient un « mensuel de contre-information » et ambitionne de réunir « la couverture du Parisien, l'information du Canard, l'humour de Charlie ». Après 37 numéros, sa parution s'arrête en décembre 1977. Après une collaboration épisodique à Ouest-France, il rejoint en 1982 la rédaction d'Actuel, qu'il quitte pour écrire La Débine, un livre-reportage pour lequel il vit durant trois mois comme sans domicile fixe. En 1994, il intègre la rédaction du Canard enchaîné, Il y tient une chronique intitulée « Plouf ! » qui traite de la technologie, de la mondialisation marchande et de l'écologie, tout en signant les critiques théâtrales.
Jean-Luc Porquet, né le 11 juin 1954, est un journaliste français. Étudiant à l'Institut catholique d'arts et métiers de Lille, Jean-Luc Porquet lance à la fin de 1973, avec Jérôme Hue, Philippe Robinet et Jean-Yves Quinette, un périodique étudiant, Le Clampin libéré. L'année d'après il entre à l'École supérieure de journalisme de Lille (50e promotion). Les dessinateurs Phil Casoar et Cenvint rejoignent Le Clampin libéré, qui devient un « mensuel de contre-information » et ambitionne de réunir « la couverture du Parisien, l'information du Canard, l'humour de Charlie ». Après 37 numéros, sa parution s'arrête en décembre 1977. Après une collaboration épisodique à Ouest-France, il rejoint en 1982 la rédaction d'Actuel, qu'il quitte pour écrire La Débine, un livre-reportage pour lequel il vit durant trois mois comme sans domicile fixe. En 1994, il intègre la rédaction du Canard enchaîné, Il y tient une chronique intitulée « Plouf ! » qui traite de la technologie, de la mondialisation marchande et de l'écologie, tout en signant les critiques théâtrales.