D’origines celtiques, né sur les bords de la Seine à Saint Cloud, où s’éveille déjà en lui, l’appel du large, il semble que Yves ait toujours dessiné, et ce, dès la clinique. Jusqu’à ce qu’il entre à la Maison des Artistes en 1987. Sa rencontre avec Ligia et le Brésil en 1989, au cours d’une expédition dans le marais de Paris, apportera encore à ses créations un concentré de vie et agrandira encore les frontières de son imagination débordante, pour des résultats aux saveurs encore plus pimentées et riches en couleurs et en émotions. Ce nouveau courant Latino-celtique n'a pas fini de nous étonner. Sa forte réactivité sur des sujets très variés, son imagination, son esprit de synthèse, son intuition et la qualité de son travail, lui ont permis de se faire apprécier très vite par de nombreux éditeurs du livre et de la presse magazine, et des agences de publicité. Par la vivacité de son trait et le style original de ses personnages, associés à une tournure d’esprit qui lui est propre, on identifie tout de suite un dessin de Guézou dont l’effet débouche rarement sur de la mélancolie.
Texte © Auteur
D’origines celtiques, né sur les bords de la Seine à Saint Cloud, où s’éveille déjà en lui, l’appel du large, il semble que Yves ait toujours dessiné, et ce, dès la clinique. Jusqu’à ce qu’il entre à la Maison des Artistes en 1987. Sa rencontre avec Ligia et le Brésil en 1989, au cours d’une expédition dans le marais de Paris, apportera encore à ses créations un concentré de vie et agrandira encore les frontières de son imagination débordante, pour des résultats aux saveurs encore plus pimentées et riches en couleurs et en émotions. Ce nouveau courant Latino-celtique n'a pas fini de nous étonner. Sa forte réactivité sur des sujets très variés, son imagination, son esprit de synthèse, son intuition et la qualité de son travail, lui ont permis de se faire apprécier très vite par de nombreux éditeurs du livre et de la presse magazine, et des agences de publicité. Par la vivacité de son trait et le style original de ses personnages, associés à une tournure d’esprit qui lui est propre, on identifie tout de suite un dessin de Guézou dont l’effet débouche rarement sur de la mélancolie.
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