Flush, du talent dans de nombreux univers ! Né d’un papa amoureux de bande dessinée, il pique tout ce qu’il trouve dans la bibliothèque familiale dès ses premiers pas. Il fait le grand écart entre Black et Mortimer, de Jacobs, et Fou d’amour, de Reiser, rien ne lui fait peur. Encouragé par maman, Il dessine avec son frère à partir du moment où ils arrivent à tenir un crayon dans leurs mains. Ils dessinent leur première bande dessinée sur un livre blanc donné par le paternel (jamais édité à ce jour… en même temps, faut pas rêver). En primaire il décide que plus tard : Je fera de la bédé ! Les années passent, il oublie un peu son rêve de môme. Sorti de l’école LISAA, section graphisme multimédia, il trouve du boulot dans des boîtes de production vidéo (Désert Production puis Cosa). Le dessin revient un peu à cette époque pour pondre les storyboards des projets en cours. Il passe ensuite à l’édition en tant que graphiste print (studio ADT puis Le Petit Atelier), il bosse sur des couvertures de livres. De temps en temps il arrive à placer une illustration aux clients. En parallèle, il travaille sur un tas de projets : Illustrateur pour un canard local Le petit ZPL, graphiste freelance, écrit des bouquins de nouvelles qu’il fait illustrer par une copine (Croche), formateur identité visuelle pour Rezonne (Réseau des musiques actuelles de l’Essonne) et surtout son groupe de musique, Noflipe. Grâce à Noflipe, il développe un maximum sa créativité sur tous les supports : illustration, photomontage, vidéo, musique évidemment… et même une bd participative. À ce moment-là, son rêve de gosse refait surface. Après tout pourquoi ne pas faire une bande dessinée tout seul, comme un grand. Il rédige le scénario (un truc qui lui trottait dans la tête depuis un bout de temps), puis réalise le storyboard dans la foulée, commence à réfléchir au personnage et enfin se lance pour de bon. Il envoie des planches à des maisons d’éditions, présente son boulot au festival d’Angoulême, on lui répond beaucoup trop souvent : ‘’Ça ne correspond pas à notre ligne éditoriale mais je suis sûr que vous allez trouver''. Après des litres d’encre étalés sur du papier il termine le premier tome de sa première bd : Si Uté approuve. Il envoie son projet presque aussitôt à des éditeurs, et ''Cerises & Coquelicots sur le gâteau'', on lui répond.
Flush, du talent dans de nombreux univers ! Né d’un papa amoureux de bande dessinée, il pique tout ce qu’il trouve dans la bibliothèque familiale dès ses premiers pas. Il fait le grand écart entre Black et Mortimer, de Jacobs, et Fou d’amour, de Reiser, rien ne lui fait peur. Encouragé par maman, Il dessine avec son frère à partir du moment où ils arrivent à tenir un crayon dans leurs mains. Ils dessinent leur première bande dessinée sur un livre blanc donné par le paternel (jamais édité à ce jour… en même temps, faut pas rêver). En primaire il décide que plus tard : Je fera de la bédé ! Les années passent, il oublie un peu son rêve de môme. Sorti de l’école LISAA, section graphisme multimédia, il trouve du boulot dans des boîtes de production vidéo (Désert Production puis Cosa). Le dessin revient un peu à cette époque pour pondre les storyboards des projets en cours. Il passe ensuite à l’édition en tant que graphiste print (studio ADT puis Le Petit Atelier), il bosse sur des couvertures de livres. De temps en temps il arrive à placer une illustration aux clients. En parallèle, il travaille sur un tas de projets : Illustrateur pour un canard local Le petit ZPL, graphiste freelance, écrit des bouquins de nouvelles qu’il fait illustrer par une copine (Croche), formateur identité visuelle pour Rezonne (Réseau des musiques actuelles de l’Essonne) et surtout son groupe de musique, Noflipe. Grâce à Noflipe, il développe un maximum sa créativité sur tous les supports : illustration, photomontage, vidéo, musique évidemment… et même une bd participative. À ce moment-là, son rêve de gosse refait surface. Après tout pourquoi ne pas faire une bande dessinée tout seul, comme un grand. Il rédige le scénario (un truc qui lui trottait dans la tête depuis un bout de temps), puis réalise le storyboard dans la foulée, commence à réfléchir au personnage et enfin se lance pour de bon. Il envoie des planches à des maisons d’éditions, présente son boulot au festival d’Angoulême, on lui répond […]