Dans l'ombre, les traducteurs sont les passeurs essentiels des littératures d'ailleurs. C'est le métier qu'exerce Alice Marchand. Bercée dès sa plus tendre enfance aux sons de la langue de Shakespeare, celle qui s'est installée il y a quatre ans à Plougasnou ne se voyait pas traductrice. « Je voulais être écrivaine, j'ai découvert la traduction par hasard alors que je travaillais pour des maisons d'édition parisiennes. J'étais chez Grasset, quand on m'a dit : « Toi qui parles anglais, tu ne pourrais pas traduire ça ? » Une révélation, traduire est devenu une chose naturelle. » C'était, il y a vingt ans. Depuis, Alice Marchand a traduit deux cents bouquins, des romans pour ados, des BD et de la poésie pour les maisons d'éditions prestigieuses comme Gallimard, Milan, Albin-Michel ou Casterman. Puis, elle vit dix ans en Irlande où ses enfants sont nés.
Texte et photo © Ouest-France
Dans l'ombre, les traducteurs sont les passeurs essentiels des littératures d'ailleurs. C'est le métier qu'exerce Alice Marchand. Bercée dès sa plus tendre enfance aux sons de la langue de Shakespeare, celle qui s'est installée il y a quatre ans à Plougasnou ne se voyait pas traductrice. « Je voulais être écrivaine, j'ai découvert la traduction par hasard alors que je travaillais pour des maisons d'édition parisiennes. J'étais chez Grasset, quand on m'a dit : « Toi qui parles anglais, tu ne pourrais pas traduire ça ? » Une révélation, traduire est devenu une chose naturelle. » C'était, il y a vingt ans. Depuis, Alice Marchand a traduit deux cents bouquins, des romans pour ados, des BD et de la poésie pour les maisons d'éditions prestigieuses comme Gallimard, Milan, Albin-Michel ou Casterman. Puis, elle vit dix ans en Irlande où ses enfants sont nés.
Texte et photo © Ouest-France