Jean Solé débute en 1971 dans la revue Pilote, pour laquelle il illustre des histoires imaginées par Guy Vidal, Jacques Lob et Jean-Marie Pélaprat. Un an plus tard, il lance "Jean Cyriaque", avec le scénariste Jean-Pierre Dionnet. En 1975, il rejoint Fluide Glacial, où il collabore avec Gotlib et Alain Dister, et reprend la série "Superdupont". Il réalise aussi plusieurs couvertures pour L'Écho des Savanes ainsi que la série "Le Plombier Maudit". Depuis, Jean Solé s'est surtout signalé comme illustrateur de presse. Dans le numéro 64 (juin 2003) de la revue BoDoï, le dessinateur Jean Solé raconte comment il a été accepté en 1970 dans l'équipe du journal Pilote, dont il a ensuite signé bon nombre de couvertures (entr'autres) : "L'armée m'appelle dans la foulée (...). Quand ils me libèrent enfin, je passe à Pilote avec mon carton à dessins. Je donne quelques travaux à Charlier qui était rédacteur en chef adjoint à l'époque. Il montre ça à Goscinny. Et c'est René Goscinny lui-même qui m'appelle chez mes parents. "Monsieur Jean Solé ? J'ai vu votre dossier, il est épatant ! Si vous le désirez, vous faites partie de l'équipe de Pilote ". J'étais un peu sous le choc."
Jean Solé débute en 1971 dans la revue Pilote, pour laquelle il illustre des histoires imaginées par Guy Vidal, Jacques Lob et Jean-Marie Pélaprat. Un an plus tard, il lance "Jean Cyriaque", avec le scénariste Jean-Pierre Dionnet. En 1975, il rejoint Fluide Glacial, où il collabore avec Gotlib et Alain Dister, et reprend la série "Superdupont". Il réalise aussi plusieurs couvertures pour L'Écho des Savanes ainsi que la série "Le Plombier Maudit". Depuis, Jean Solé s'est surtout signalé comme illustrateur de presse. Dans le numéro 64 (juin 2003) de la revue BoDoï, le dessinateur Jean Solé raconte comment il a été accepté en 1970 dans l'équipe du journal Pilote, dont il a ensuite signé bon nombre de couvertures (entr'autres) : "L'armée m'appelle dans la foulée (...). Quand ils me libèrent enfin, je passe à Pilote avec mon carton à dessins. Je donne quelques travaux à Charlier qui était rédacteur en chef adjoint à l'époque. Il montre ça à Goscinny. Et c'est René Goscinny lui-même qui m'appelle chez mes parents. "Monsieur Jean Solé ? J'ai vu votre dossier, il est épatant ! Si vous le désirez, vous faites partie de l'équipe de Pilote ". J'étais un peu sous le choc."